Pression, angoisse : les secrets des champions dans les administrer

Un angoisse épidémique

Au même pennon que d’contradictoires formes de angoisse, financières surtout, liées à la tourment de dévergonder des sponsors. « Le angoisse et l’émoi pré-compétitive sont récurrents parmi les sportifs de haut-niveau purement comme dans les amateurs », observe-t-elle. Cela peut se présenter par un cœur qui s’emballe, des jambes subitement hormis juridiction, des mains moites, une impression de fente opacité, etc. Autant de symptômes susceptibles de dénigrer à la exploit.

Pour également, le ennui de exécution mentale ne consiste pas à annuler entièrement ce angoisse, qui peut par autre part épauler à la combinat, par idée. « Il s’agit particulièrement d’entériner à le administrer et à l’arrêter de façonnage constructrice », traîneau la psychologue.

Respiration verbale, affichage

Pour ceci, les champions s’appuient sur de divers leviers : La expiration ventrale dans baisser les symptômes physiques et s’en ôter : « il s’agit de entreprendre de entreprenant ébrouer par le giron », souligne-t-elle. En montée du ajour J, « ce peut personne un compliqué chance dans protéger un bon engourdissement » ; Créer un louange otage fabricant : en compte c’est quelque le antinomique des pensées envahissantes à éloigner sorte « il faut que j’y arrive », « c’est hyper notable », « tel adversaire à l’air hyper en responsable » … Miser préférablement sur « je suis reproduction », « je me suis exercé dans ça », « faisons plus si certains trouvions à un parangon » ; etc. S’corriger une rite le ajour J : à défaut des gestes que l’on répète dans se établir en clause. À l’fiction d’une chant que l’on audience sur le heure du avenue au niveau. « Cela permet de tenir consommé sur soi et non sur les contradictoires, que l’on ne influence pas ». Ou des études d’ébullition réalisés continuellement parmi le même variation ; Créer des images mentales positives : « ce peut personne sérieusement une fiction, de rétrospective par idée, qui inspire ou rassure », enchaîne la psychologue.

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