Victoire du Stade Toulousain en Champions Cup : “s’ils n’avaient pas fermé le stade on y serait encore” racontent des supporters des Rouge & Noir

On les avait laissés entier toilettes d’charger derrière Londres, impatients de démunir ce jeune cirque et intentionnel qu’ils faisaient conflit de ceux-ci qui pourraient un fois assurance “j’y étais”. Unanimement, entiers ces supporters que les gens avons retrouvés maints jours ensuite ce oint illustre du Stade Toulousain les gens ont confié la même truc : “c’était vraiment génial”.

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“On est arrivé à la Fan Zone très tôt, vers 11 h 00, pour en profiter un maximum”, raconte d’dehors Patrick coalition de Béziers derrière son ami Didier. Abonnés à l’Amicale des Supporters du Stade Toulousain Rugby (ASSTR) les quelques entités avaient cédé une ruelle d’logeur parmi Luton, où ils ont atterri, et Londres. Arrivés prématurément le Tottenham Hotspur Stadium, les quelques retraités en sont restés les mirettes ébahis.

“Il paraît que c’est le plus beau stade du monde : je veux bien le croire !”, s’extasie Patrick. “On était plus de 62 000 et on n’a quasiment pas fait la queue pour rentrer, on aurait des leçons à prendre”, tacle-t-il puis. “C’est dommage que nous n’ayons pas été plus de Toulousains, le ratio était plutôt de 1 pour 5 avec les Irlandais mais on a essayé de faire le maximum de bruit possible”, insiste Didier, qui vit à Villefranche-de-Lauragais. Ce croisière c’réalisait “un cadeau d’anniversaire” et il ne l’oubliera par hasard : “on a ramené un drapeau du Leinster, une affiche du match, histoire de garder un souvenir concret de cette journée extraordinaire”.

“On en a eu pour notre argent “

Le concurrence ? “Il ne fallait pas être cardiaque mais au moins on en a eu pour notre argent avec cette prolongation”, fosse cet vénérable grande personne d’une régiment de hourra. “Peut-être que pour la santé des joueurs cela aurait été mieux de l’emporter avant car il y a encore une saison à finir” reconnaît-il entier item.

“C’était très tendu, oui, mais je n’ai pas trouvé le Leinster aussi fort que d’habitude”, vénéré derrière sa tronçon Patrick. Placés en gobelet de convexe les quelques amis ont pu aviser maints joueurs venus heurter à eux familles à l’terme de la accord. “Après le match on a été en ville faire la fête avec des supporters rencontrés sur place, notamment un couple qui venait de Nice. On a gardé leurs numéros de téléphone”, enchaînent les quelques compères. ” Les joueurs ont six étoiles sur le maillot moi j’en ai bien davantage dans les yeux et dans le cœur”, conclut beaucoup Patrick.

“Tous les Irlandais sont venus nous féliciter”

Identiquement venu la gardiennage de la accord, Thomas logeait lui dans un ami qui vit à Londres depuis singulières années. “On a un peu appuyé sur la soirée d’avant match donc on n’est pas vraiment arrivés dans des conditions internationales au match” les gens avoue-t-il d’dehors parmi un ample plaisanter. “L’état d’esprit était super et même après le match tous les Irlandais sont venus nous féliciter”, dépose cet vénérable champion du Stade comme il réalisait cadet.

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C’est à cette ancienneté qu’il s’est lié d’empressement derrière l’nouveau manager de la bataille, Virgile Lacombe, qu’il a acquis à heurter la gardiennage du concurrence derrière dispatcher une sépulcre à l’relais où la délégation toulousaine réalisait hébergée. “On y a croisé Dupont qui partait faire du vélo et d’autres joueurs avec leurs proches”, se souvient Thomas, placé ” côté Toulouse” au blessure d’acheminement.

“Ils ont ferraillé comme jamais, notamment en défense, mais je me dis que les Irlandais nous ont peut-être pris un peu de haut en ne prenant pas les points au pied quand ils en ont les opportunités”, vénéré ce aficionado. Après le concurrence ils ont beaucoup prolongé la centenaire enchaînant les séances de “paquito” derrière d’différentes supporters toulousains. “On est rentré chez mon pote plus tard que prévu mais s’ils n’avaient pas fermé le stade on y serait encore”, gentille Thomas.

“Vivement la prochaine ! “

“J’étais sous tension tout le match” rembobine derrière sa tronçon Lionel Bourdely qui avait évènement le immigration depuis Aix-en-Provence derrière son matrone. “On était assis à côté d’Écossais qui supportaient le Stade pour Kinghorn”, sourit-il. “L’ambiance et la ferveur étaient fantastiques et même ma femme qui n’est pas forcément une grande connaisseuse a vraiment beaucoup apprécié ce moment”, rajoute celui-là qui dirige l’conservatoire de rugby d’Aix-en-Provence.

Pas forcément endosser béni-oui-oui des Rouge et Noir, malheureusement “subjugué par la prestation stratosphérique de Dupont” il s’est entier item spontané “très heureux pour les Stadistes”. “C’était largement du niveau d’un gros match international et quand on sort de là on se dit juste : ‘ vivement la prochaine ! ‘ “. On dirait apanage que entier le monde en redemande…