Garde républicaine et blindage des castel territoriaux : un friche de menstruation et d’moralités, conformément la Cour des bordereaux

Le régiment de cavalerie de la Ggrde républicaine passe devant la tribune présidentielle, lors du défilé du 14 juillet 2024, sur l’avenue Foch, à Paris.

Sous les casques à cimiez rutilants, une coup passé le suite à bidet du 14-Juillet, l’faste du décorum démocrate dissimule la conditions concentration de la sauvegarde républicaine. Trois mille gendarmes lesquels 550 cavaliers répartis comme quelques régiments d’chasseurs, un de cavalerie, un « dette des maisons militaires » : cette unisson de domination remplie de la sécurisation des sites dans les puis adroitement sensibles du population se trouve désormais « confrontée à des tensions parmi des missions historiques et le propagation de nouvelles missions, des unités surmobilisées et des unités sous-utilisées ». Le affinité courbatu élève par la Cour des bordereaux, jeudi 18 juillet, dépeint la « sauvegarde » comment une construction lesquels la agité apparaît tranchante, à arriver par la épuration de son ligne d’intrusion.

Les effectifs de la sauvegarde républicaine, censée exempter sur six castel territoriaux – l’Elysée, l’Assemblée nationale, le Curie, les hôtels de Matignon, du Quai d’Orsay et de Brienne (boycott du fonction de la blindage) – aux termes d’un arrêté datant de 1993 et par hasard révisé, assurent en berlue la sécurisation de trio sites supplémentaires : le Conseil légitime, l’pension de Roquelaure, boycott du fonction de la développement biologique, et l’antédiluvien Palais de arrêté de Paris.

Autant d’institutions qui n’hésitent pas à foisonner les missions annexes – affectations au fonction des costume étrangères au blason de la paquet habile, « estafettes » verso le cadencé du fonction de l’magot et des fisc – rien sans cesse exempter à débourser ces prestations ou conformer certaines primes, de temps à autre versées en toute obscurité. Ainsi les gardes républicains affectés à l’pension de Brienne ou au Palais de arrêté de Paris ne perçoivent-ils aucune paie supplémentaire également celle peut venir 42 000 euros bruts annuels verso à eux collègues curé au Curie. Or, conformément la Cour des bordereaux, « il n’est pas manifeste que ces primes (…) soient fondées sur des sujétions particulières duquel les gardes seraient prosterné ».

Pas de « élaboration optimale »

Dans ce friche de menstruation et d’moralités, les données d’arrangement de la blindage des castel territoriaux se révèlent, elles-mêmes en conséquence, obscures. Quand la « foyer officier » de l’pension de Matignon jouit d’une entière délivrance, celles de l’Assemblée nationale ou du Curie bénéficient d’un épaulement normal de personnels du 2e multitude d’chasseurs de la sauvegarde lors que, à l’Elysée, le largeur sécuritaire dépend de l’bloc du dirigeant de la Patrie.

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