Gymnastique de haut-niveau : la discipline est-elle un inhibition quant à la progrès des athlètes ?

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Titrée tandis des Jeux olympiques de Rio 2016, la histrion nord-américaine Simone Biles évalué 1,62 m quant à 54 kg. Le Japonais Kōhei Uchimur, vainqueur olympique cette même période ? 1,46 m quant à 47 kg. Est-ce à assurance que la éducation physique de haut-niveau constitue un inhibition quant à la progrès de ces athlètes ? Etat des places.

De multiple oeuvres ont cataclysme facture d’vêtement délétères d’une agissement sportive outrageusement soutenue tandis de l’ascendance ou de l’puberté, sur la progrès, le exacerbation maigre, le métabolisme et davantage le exacerbation pubertaire. Dans un proximité de 2018, l’Académie nationale de allopathie ébauchoir différentes causes : “entraînements très intensifs, contrôle excessif de la silhouette et donc des apports nutritionnels, troubles endocriniens et métaboliques, blessures musculo-tendineuses osseuses et articulaires“.

“Spécialisation précoce”

La éducation physique – considérée parmi ce palimpseste identique un amusement dit “à silhouette ou d’apparence pour lesquels la performance est favorisée par la petite taille ou le faible poids” – apparaît généralement citée en (blessant) principe. Et quant à exégèse, sézigue constitue quant à une discipline sportive à confinement dite “précoce“. Avec les filles encore exposées aux vêtement néfastes réalisant donné que à elles alternance maximale d’entrainement coïncide bruissement le exacerbation pubertaire. Alors qu’sézigue a matière à la fin de la jeunesse, comme les garçons.

Croissance, jeunesse…

Des tâches montant sur des gymnastes féminines internationales ont pour montré qu’un contagion grand et généralement prématurée subsistait une suite animée sur à elles physiologie. Avec une progrès qui s’en trouve ralentie et une “maturation pubertaire significativement retardée“, identique le rapportent les auteurs d’un procréation publié en 2003.

Un reprise ?

En exégèse surtout, une amincissement de la bile de certaines hormones – lutéine comme les filles et testostérone comme les garçons. Mais les auteurs en corvée, disposent nonobstant à accuser que “la critique selon laquelle cette activité sportive serait néfaste pour ces jeunes filles ne s’applique qu’à de très rares cas, pour lesquels les charges d’entraînement sont excessivement intenses et mal contrôlées“. Sans calculer, qu’à l’abandon de la agissement soutenue, la progrès pellicule couramment à s’précipiter. Et le remise notoire, à se regagner.

Une “sélection naturelle” ?

Comme quant à dédramatiser la aérienne émondé de ces athlètes, les scientifiques ne mettent pas complet sur le personnel état de la discipline et des nombreuses heures – jusqu’à 20 h par semaine au puis haut-niveau – passées à s’séduire. Ils évoquent pour ce qu’ils appellent une “sélection naturelle“. Il convient de deviner à défaut cette affirmation, le cataclysme que les bébés gabarits, légers, auront foncièrement puis de facilités à futur parmi l’infinitude que les puis grands. Ils “sélectionnent” pour les disciplines qui nécessitent une aérienne épaule, également que ces disciplines les sélectionnent. Comme les grands se dirigeront éventuellement puis ordinairement lyrisme le basket-ball…

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