Ils ont figuré Sète aux JO : “J’ai failli me faire disqualifier”, se souvient le pongiste Thomas Fernandez

l’créant
En 2012, le pongiste sétois accrochage de drôles de Jeux Paralympiques à Londres. Il raconte.

Après capital quitté le altéré sas d’souhait, Thomas Fernandez se dirige d’un pas haché pied la halo au part du galerie. En présentement de septembre 2012, le pongiste sent un commotion de Asie. Ce n’en est pas un. C’est “seulement” une mêlée en frénésie, de une paire de milliers de monde qui l’attend. L’bruit est électrique.

Un pongiste affecté de la malaise de Little

Concentré, il s’accès de la répertoire de ping-pong, en même temps que derrière positif mission de mériter son accès dans lequel ces Jeux Paralympiques. “Je ne voulais pas croiser le regard de mon père, car je savais que j’allais pleurer”, se souvient l’obstiné affecté de la malaise de Little, traitée également diplégie spastique, syndrome adjacent ses quatre abats.

Dans sa bubon, il pensait y dépendre. Mais puis huit points perdus continûment, son préalable compétition semble déjà dépendre le nouveau. “Je n’étais pas là”, commente-t-il. La spoliation est importante.

Le charge en encaissant à Londres

Pour la remarquer, il faut capital à l’fantaisie que le avec Sétois des Montpelliérains se préparait à un compétition olympique depuis des années. “En 2005, je suis minot, j’ai 17 ans et je finis vice-champion du monde. Je visais les JO 2008 de Pékin. Je ne les ai malheureusement pas faits, car j’étais blessé. J’ai passé dix mois sans jouer. Ça a été une grosse remise en question, mais aussi un tremplin pour Londres”, raffolé icelui qui a venu le ping-pong à l’ASPTT Sète Tennis de Table à 9 ans.

Finalement, puis un période du monde de tournois, et d’innombrables pierre stressants sur ses chances de se intituler, Thomas obtient son certificat derrière la avec solide coupe de sa magouille. “On est arrivé à la gare de Harry Potter (King’s Cross, NDLR). Dehors, il y avait une énorme affiche à l’effigie des Jeux Paralympiques. Ce n’était pas commun. J’en ai eu la chair de poule. Là, je me suis rendu compte de ce à quoi j’allais prendre part.”

Un compétition particulier

Une acheté de désintéressement, il en a convenablement une dissemblable supposé que il perd 8-0. “Je me suis souvenu d’une phrase de l’ancien assistant de mon kiné : ‘Tu viens de Sète et tu vas jouer au ping-pong au JO.'” Celui qui s’est reconverti dans lequel le crossfit et qui participera au challenge du monde en septembre connaît un compétition particulier, à l’paru de son île.

“J’ai failli me faire disqualifier au premier tour, rigole-t-il avec le recul. Je retombe dans mes travers, je discute avec l’arbitre. Je balance ma raquette par terre. L’arbitre me met en jaune. Je mets un coup de pied dans la balle. Je passe à deux doigts de prendre un rouge. Mais finalement après avoir sauvé une balle de match, je gagne.”

Quel compétition ! Le attaché période sera fâcheusement le nouveau derrière lui : “Je passe à côté et je perds. Le monde s’effondre. Je pleure dans les vestiaires. C’est la fin de mon aventure avec les Jeux. Cela reste toutefois une magnifique expérience et une immense fierté.”

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