JO Paris 2024 : “C’est un peu triste qu’il ne puisse pas participer, je sais à quel point il le voulait”, Duplantis rend vénération à Lavillenie

Armand Duplantis s’est dit “un peu triste” que Renaud Lavillenie n’ait pas obtenu à se confirmer verso les JO de Paris, chahut 6 juillet à la surveillé du symposium de Ligue de brillant au académie Charléty, à Paris, où les quelques perchistes seront présents.

“C’est un peu triste qu’il ne puisse pas participer aux Jeux olympiques, surtout à Paris, a regretté Duplantis. Je sais à quel point il le voulait. Il a toujours été très bon pour relever ce type de challenge, mais bien sûr c’est de plus en plus difficile avec les années”.

Opéré en septembre final au stade des ischio-jambiers et budget à la match fin mai, un peu encore d’un appointement devant la jour côté verso terminer les minima olympiques, Lavillenie, virtuose olympique en 2012, n’a pas traversé les 5,82 m sollicité.

“Il a l’air encore très motivé, il a toujours envie de sauter, il aime toujours ça”, a accessoire “Mondo”. “Ça fait assez longtemps qu’on n’a pas sauté ensemble, ça va être super fun. J’espère qu’il va pouvoir montrer qu’il fait toujours partie des meilleurs mondiaux”, a clair le Suédois à pic du collaboration de dimanche.

“Un petit galop d’essai sympa” à Charléty

Pour sa dernière match devant les JO, Duplantis “espère sauter haut”. “Je veux me montrer à moi-même que je suis dans une forme digne d’un record du monde. M’assurer que tout est en place et rassembler le plus d’informations possible”, a-t-il large.

Avec un plancher à la élévation d’une “finale olympique”, “ça va être un petit galop d’essai sympa”, a estimé le virtuose olympique en écusson, en mendie d’un singulier doublé.

“C’est un matelas de sécurité d’avoir déjà un titre olympique, a reconnu Duplantis. Mais ça va être une expérience totalement différente, avec du public. À Tokyo, c’était un peu stressant avec le Covid et tout. Ça va être sympa de vivre une vraie expérience olympique.”

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