JO Paris 2024 : la CNCDH met en soutenu sur la vidéosurveillance automatique à moins d’un paye des Jeux

La Commission nationale consultative des valeurs de l’individu châle les “risques pour les libertés” causés par la vidéosurveillance automatique (VSA), pendant lequel un poster publié au Journal formaliste mardi, à moins d’un paye des Jeux olympiques de Paris.

La VSA, testée en France pendant lequel le baguette des JO (26 juillet – 11 août), consiste en des logiciels associés à des caméras de pistage comme saisir des actualité jugés suspects ou à témérité, façade d’émouvoir en ancienneté vrai un broker.

La CNCDH sarisse particulièrement “deux observations” relativement à “l’incidence de la VSA sur les droits et libertés fondamentaux”, pendant lequel un immense poster sur “la surveillance de l’espace public”.

Parmi les huit “événements prédéterminés”, définis par la “loi JO” d’avril 2023, que la VSA doit localiser, il est arrangé d’coller “une alerte à un sens de circulation piétonnière anormal”, une entité allant à contre-sens pendant lequel la contusionné par étalon.

Cette habileté relève comme la se remuer d'”une conception de l’ordre public excessivement normalisée” et “expose ainsi le système à des signalements inopportuns qui peuvent conduire à des interpellations indues”.

La se remuer s’horrifié encore de l'”implication inédite des acteurs privés”

La CNCDH considéré de surtout qu'”il sera difficile d’assurer le contrôle en pratique” des garanties prévues par la loi, à absence particulièrement de ressources suffisants alloués à la Commission nationale de l’robotique et des possibilités (CNIL) et craint que les citoyens développent “un sentiment de surveillance accrue” au pension des Jeux.

La se remuer s’horrifié encore de l’“implication inédite des acteurs privés – les concepteurs des logiciels – dans l’exercice d’une mission régalienne” et des possibles “discriminations” induites.

La VSA repose sur des logiciels conçus comme “identifier des situations préoccupantes”, “la machine pourrait donc être amenée à associer un certain niveau de risque à certaines caractéristiques récurrentes” tel “le port d’une capuche”, met en soutenu la Commission.

En balance, ces logiciels sont paramétrés comme se polariser “par exemple sur le type de véhicule à détecter” cependant, craint la se remuer, “un agent en charge de son utilisation au sein du centre de supervision urbain pourrait cibler indirectement certaines catégories de la population circulant sur la voie publique”.

Si “contrôler l’absence de biais s’apparente à l’heure actuelle à un vœu pieux”, déplore la CNCDH, cependant “il serait possible de mettre au jour les discriminations produites à travers son usage” et, évacuant, “prendre toutes les mesures propres à y remédier”.

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