Législatives 2024 : Marine Le Pen dénonce un “coup d’État administratif” du stalag présidentiel, l’Elysée l’commerce à diriger son “sang froid”

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Après les accusations portées par la directeur du Rassemblement citoyen mardi, l’gouvernement l’a sollicité à agir affirmation de “sang froid” et de “mesure”.

Elle dénonce un “coup d’État administratif”. Marine Le Pen a été virulente mardi 2 juillet à l’déférence du stalag macroniste, en conséquence à une diffus de nominations en source du associé alternance des législatives dimanche et d’une optionnelle promiscuité en cas de perfection du Rassemblement citoyen (RN).

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Plus tôt mardi, la députée RN froidement réélue pendant le Pas-de-Calais, a inculpé Emmanuel Macron de vider à “contrer le vote des électeurs” en “nommant des personnes” de son stalag qui empêcheraient le clique “de pouvoir mener la politique que les Français veulent”. Se basant sur des “rumeurs”, sézigue accuse l’gouvernement de soupirer “empêcher Jordan Bardella de gouverner le pays comme il le souhaite”, si le RN remporte la masse achevée dimanche. “C’est une forme de coup d’État administratif”, estime-t-elle.

Si moi-même accédons aux responsabilités, moi-même serons humble des institutions et de la Constitution.

J’espère que le directeur de la Patrie acceptera lui, le arrêt des sépulcres et n’empêchera pas Jordan Bardella de inspirateur pardon il le souhaite. pic.twitter.com/eH1QFJcSA2

— Marine Le Pen (@MLP_officiel) July 2, 2024

Selon Politico, le autorité comprimé depuis étranges jours le Conseil d’Situation “afin qu’il rende des avis sur des décrets que Matignon veut à tout prix publier avant le 8 juillet”. Ces décrets concerneraient, dans hétéroclites, les textes de la loi migration et du soutien de la calme sociale. L’gouvernement pourrait par absent exprimer des nominations de hauts fonctionnaires en Conseil des ministres mercredi.

L’Elysée a incessamment réagi aux accusations de Marine Le Pen, l’appelant à agir affirmation de “sang froid” et de “mesure”. “Il y a depuis 66 ans chaque semaine des nominations et des mouvements, notamment l’été, indépendamment des moments politiques traversés par nos institutions, et il n’est aucunement prévu qu’une de ces dispositions puisse changer dans les prochains mois”, a spontané la direction de la Patrie pendant une enjeu au enclin.

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