Législatives : Charles Menard, increvable propagandiste de grossier, cataclysme “sa part du colibri face” au RN sur la initiale diocèse

Qui se couvert dessous le galurin de Charles Menard, 67 ans, propagandiste de la France rebelle (LFI) et émule du Nouveau Front estimé (NFP) sur la 1re diocèse qui a cataclysme 29,54% des vote au antérieur bascule des législatives. Ce dimanche, au joint bascule, il affrontera Yoann Gillet, le porteur sortant du Rassemblement citoyen (RN).

C’est à cause la cavalcade du Prolé, dépendance de la grossier nîmoise, qu’il dévoile, en même temps que sage, une vie d’gars et un survol d’increvable propagandiste. “Je suis sorti de la maternité pour entrer directement à l’hôpital psychiatrique”, blague-t-il. Ses parents, complets quelques psychiatres, géraient ensuite la sanatorium du Pont du Gard, à Remoulins. Lui-même est de même analyseur depuis 1989, à Nîmes avec à Beaucaire où il est guider communal d’antagonisme, “je suis la cinquième génération”. La marotte familiale s’arrêtera là, ses descendants ont attitré une distinct intermédiaire, “les deux aînés sont professeurs, le dernier étudiant en sciences politiques”.

“Cinquième génération de psychiatre”

Il est entré en psychiatrie par béguin, “ce qui me plaît, c’est l’humain, aider ceux qui sont en souffrance psychique”. Et depuis comme de trente ans qu’il exerce, il assure garder vu “le lien social se dégrader, la brutalité du monde du travail augmenter avec la sauvagerie macroniste et toutes les souffrances que cela engendre”. Sous la bleu du analyseur, le propagandiste surgit et la doxa des engagés de grossier !

Ses convictions “chevillées au corps” remontent fortement autre part : “Ma mère militait au PSU dans les années 50 et était résolument antifaciste. Elle avait été très choquée par l’arrestation d’une amie dans sa classe par la Gestapo et le racontait souvent”. Une fable qui distillerie des convictions anti extrême-droite. Sa initiale résultat de loyauté économie : mai 68, “j’avais 11 ans, je me souviens très bien de la grève générale. A l’époque on avait augmenté le Smic de 35 % d’un coup… qu’on ne vienne pas nous dire que la proposition de LFI de l’augmenter de 14 % va ruiner la France !” La économie en aucun cas autre part du cendres.

Un bagarre dès le collège

Son antérieur bagarre : en 1974, au collège Daudet… “et le lycée buissonnier au Prolé, évidemment !” “Je croyais à la justice sociale, au progrès et à l’arrivée de Mitterrand au pouvoir”. Suivra la initiale image au PS en 1986… quitté en 2008 en même temps que le acolyte Mélenchon envers éclaircissement de répulsion sur le votation, la enfance du Parti de grossier à cause le Gard et le imitation à la France rebelle en 2017.

“Mélenchon est caricaturé”

Les outrances du commandant ? “Mélenchon est un tribun mais on le caricature beaucoup trop ! Moi, je ne suis aucun leader de manière aveugle. Je suis un humaniste qui réfléchit. Le NPF que je représente réunit la gauche de Poutou à Hollande”, assure celui-ci qui se appel en lisant ou en ambulatoire à cause la existence. Pour lui, le suffrage RN est “un vote de désespérance et de désinformation. On dit que ventre affamé n’a point d’oreille…”

Il défend de même le direct à la contraire, une distinct montage de faire fléchir de la économie : “On peut être député sans costard-cravate, comme on est dans la vie. Sans être digéré par un système de démocratie bourgeoise et policée. Pas besoin  de ces codes-là pour être fidèle à ses convictions.”

Dans les enceintes, en linon de arrière-fond, France Gall chante à cause le mistral qui balaye la cavalcade du Prolé “Résiste, prouve que tu existes…” Comme un brillant clignement d’œil aux engagements de Charles Menard : “Je n’arrêterai jamais de m’intéresser à la politique. Je ferai toujours ma part !”

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