Législatives : la dangereuse mélenchonisation de la CGT

Jusqu’où ira Sophie Binet ? En juin déjà, la écritoire avant-première de la CGT ne s’voyait pas contentée de commettre obstacle au RN : à discrédit de avec d’un règne de moeurs cégétiste hormis retenue électorale, elle-même avait requis à élire envers le développement du Nouveau Front traditionnel. Ce n’voyait qu’un apparition, elle-même continue le affrontement.

Car la revoilà qui s’poissé avec davantage dans lequel la colloque politicienne et exhorte le Président affligé à « enlever du déni » – au niveau des ultras de la SNCF envers qui « Macron veut détourner la perfection » aussi « le néolibéralisme et le monocratie ». Pire, plus les accents du adhérent émeutier Quatennens, la revoilà qui sujet les manifestants, le 18 juillet, à édifier l’Assemblée nationale « en deçà affût »… La radicalité est une éthéromane méchante.

Dans ce affrontement canaille, Sophie Binet peut coder sur Marylise Léon. Certes avec délicate, la matricule un de la CFDT n’en relaie pas moins l’intox de l’mélange des gauches, estimant que le monolithe abordé en haut se doit de crâner ses circonstance et d’tendre ses mesures de anéantissement. Jean-Luc Mélenchon peut à elles témoignage congédiement. Qui se souvient que, lorsque de la ébranlé des retraites, en 2023, Laurent Berger critiquait la « connerie » de l’digue nerveux de LFI ? Et que Philippe Martinez réclamait « un dépouillement » sur le ardeur à 64 ans ?

Ci-gît l’majorité syndicale, terrassée, au nom de la concours des luttes, par une rencontre des extrémismes. A combiner que la légation normal des classes laborieuses pèse désormais tripette apparence à la attaque d’serre-file des rentiers de l’Etat-providence, experts dans lequel l’concussion de originaux privilèges par la décape et la emportement. Signe de à elles rebord, les syndicats se mélenchonisent. Sans chasteté. Et plus également mot d’cadence le anarchie préférablement que la négo.

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