On savait que la arroche subsistait un costaud réclame passager, bouclant en dissemblables générations un balade de 15 000 kilomètres enthousiasme d’Europe en Afrique et pourriture versa. On découvre que cet hexapode de 150 milligrammes quant à moins de 7 centimètres d’épaule est itou habile de outrepasser l’Atlantique d’est en occident. « Un tour à sagesse spécifique », et conditionnel, impérative le thérapeute de Vanessa cardui Gerard Talavera (Institut de botanique de Barcelone, école Harvard).
L’entomologiste ibère avait connu différents spécimens mourants sur une sable de Guyane, le 28 octobre 2013 à 6 heures du clébard. Au aboutissement d’une tatillonne sondage interdisciplinaire, il décrit là-dedans Nature Communications du 25 juin quoi, bruissement ses collègues, ils ont spécifique à elles naissance.
En reprenant les conjoncture météorologiques, il est commencé que des vents d’est évacuant de la côte occident de l’Afrique avaient soufflé habituellement alentours la Guyane là-dedans la semaine précédant la acheté des papillons, à une soudaineté norme de 27 km/h. Ce sont ces mêmes vagues aériens qui transportent habituellement jusqu’aux Caraïbes et alentours le Australie étasunien des millions de barils de poussières sahariennes.
Ensuite, les chercheurs ont comparé l’ADN des belles-dames guyanaises bruissement icelui de 126 public initiaux d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Afrique. Leurs génomes correspondaient à ceux-ci des populations expatrié dans Europe et Afrique.
Pollens d’Afrique de l’Ouest
La témoin avenue a consisté à étudier les grains de pollen trouvés sur les anatomie des papillons agonisants. Ils appartenaient à 8 à 15 liquide de plantes, escortant la catégorisation adoptée. L’une subsistait latent de la division sahélienne, et une dissemblable des zones subsahariennes, toutes quelques fleurissant dans août et brumaire, à la fin des saisons des ondes en Afrique de l’Ouest.
Enfin, les chercheurs ont recruté l’examen isotopique, qui permet de découvrir sur quoi support biotique et géologique les public ont grandi. « Nous disposons de cartes isotopiques qui permettent de établir le caractéristique de stigmate conduite aux tissus des herbivores », lesquels font rivalité les papillons, indique Clément Bataille (école d’Ottawa), qui a tranchée cette rivalité des investigations. Sa réussite ? « Ces belles-dames voyaient apparemment nées là-dedans le sud-ouest de la France. »
Il faut en conséquence composer qu’elles-mêmes ont aguerri couramment la estivage alentours le sud, qui les tranchée à l’arrière-saison, en une distincte prolifération, alentours la amitié de l’Afrique de l’Ouest. Et c’est là que les choses ont attaqué un succession inopiné, à la patronage d’un contusion de bise qui les a emportées alentours le vaste, sinon rapatriement compatible.
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