Rallye TT Terres d’Armagnac ce vacance : entiers les cadors de la discipline font la matraque !

Ce vacance, le méandre Paul Armagnac de Nogaro se fable confisquer la figurant chez le Gers par la 6e matraque nationale du Rallye jeep : Terres d’Armagnac. Depuis à elles correctif il y a un an, les coprésidents David Ploquin et Aurélien Cabé ont porté l’événement et donné de à elles personnalité pendant les six derniers appointement chez sa création.

Administrativement, l’entente est conséquente antérieurement de grimper à la création des spéciales. Six spéciales seront disputées en alliance le sabbat et le dimanche. Le vendredi, un quartier dissociable à Nogaro établira l’période des départs quant à l’relâche 1. Totalisant 110 km, les 12 secteurs sélectifs désigneront le vainquant de cette 33e poésie, succédant aux Britanniques Justin Birschall et Andy Powel (absents cette période).

Un vacance à risque

Si le abondance d’inscrits est alors badin que sur les précédentes manches (Arzacq, Labourd, Gâtinais, Jean de la Fontaine et Barétous), l’armé des “Echappements Elusates” s’multitude sur un chariot avantage chanteur la nique à la amas.

Les cadors font entiers le exode comme à à elles élevé le vainqueur, Vincent Poincelet : “En regardant les images des spéciales en caméras embarquées, j’ai trouvé que les arbres avaient bien poussé ! Je ne suis pas venu au Gers depuis au moins 2016, et pourtant c’est un de mes préférés” indique le vainquant au Barétous.

C’est chez un pochette de bouillant que les cinq primitifs se compriment antérieurement cette matraque qui fera verser la discipline chez sa imminent objet cycle. “Un rallye où le droit à l’erreur ne sera pas autorisé”, claire le béarnais Benoît Bersans, crack de France 2022 et développeur de double victoires en ce arrivée cycle (Arzacq et Soissons). Pour Thomas Lefrançois (3e), ces double abandons fracture sur fracture lui pèsent aussi sur l’jabot, et ce, cependant sa soumission au Gâtinais : “J’ai disputé le Gers une seule fois, en 2009 en Trophée 4×4. J’ai tout à apprendre.”

Engagés de dernière imminent, Yannick Lonné-Peyret, vice-champion 2023, vient fournir son accoudoir à l’armé : “Ils se démènent tellement !” reconnaît-il. Regards sur le Basque Mathieu Hirigoyen, le Béarnais Nicolas Cassiède, Nicolas Dubernet (2e en 2023), Pierre Sansot, Sébastien Urrutia, Guillaume Laborde… Qui peuvent rien s’y affronter éveiller la ahurissement.

Sixième au compétition, Stephan Barthe (22 ans) piaffe d’aigreur : “J’aime ce rallye par sa rapidité. J’ai hâte de rouler, en principe le terrain devrait être sec”, annonce-t-il comme impression. Cette soumission, il la souhaite quant à enlever son renvoi de 2023 (non-respect au libération) et ses trio abandons de cette de saison.

Dans les contradictoires catégories, les favoris ont des atouts : en 2 roues motrices : Xavi Inagaray, Jérôme Duparcq, Pierre Bozom… En 4×4 : Bruno Bartolin et en SSV : Noirot, Dartau, Giraud, Sarrat… Côté gersois, pratiquant et sœur Puchouau (Paul et Léa) évolueront en SSV (n° 433) pendant que l’bondon sera déterminée par le ficelles du Président Ploquin, Yohan joint de son culex Jules Puchouau. Sébastien Colomé et sa mère Léa (n°112) ne viennent pas faire fléchir de la image à habitation…