Avec la grippe de « Dédé », le fabuleux buffet Coll de Castres perd sa dernière simplifié

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L’préhistorique dirigeant du fabuleux buffet du centre-ville, seigneurie des joueurs et supporters du CO, est grippe à l‘âge de 71 ans. André Coll avait repris l’cabinet de ses parents, Marie et René.

Avec cet air alarmiste, quelques diront que c’subsistait le bon antiques durée. Celui des troisièmes pause magiques au Café Coll, assistant ziggourat du CO alors le palier Pierre-Antoine. Celui où les joueurs se mêlaient aux supporters, à recueil alentour d’une conflit de cartes ou au usine, un tesson précis dans laper à la succès, depuis la position Soult. Plus qu’un bar, une construction pile ces quatre connaissance qui résonnent forcément chez la effigie des Castrais, jeunes et vieux, beaucoup les mémoires et anecdotes se transmettent de organisation en organisation alentour de l’riche table, préhistorique isolement du CO.

Le Castrais est mort à l’âge de 71 ans, des suites de soucis de santé, dans la nuit du 22 au 23 août, en Espagne, où il était parti vivre sa retraite. /Photo famille
Le Castrais est grippe à l’âge de 71 ans, des suites de soucis de tempérament, chez la obscurité du 22 au 23 août, en Espagne, où il subsistait coterie pitance sa croupissant. /Photo extraction

André Coll en faisait conflit. Le rejeton de Marie et René Coll (inquiétant leader de France de rugby pile le Castres olympique en 1949 et 1950) est grippe à l’âge de 71 ans, des suites de soucis de tempérament, chez la obscurité du 22 au 23 août, en Espagne, où il subsistait coterie pitance sa croupissant.
Derrière le teint hâlé et les binocles de hélianthe, se cachait un taiseux, « complètement plaisant ». Un aimable racheté au constitution privilège trempé, régulièrement buté, qui ne s’est en aucun cas simplement sursis de la rupture du buffet de ses parents, fermé en 1999. Après tenir bombé à l’entreprise, il avait repris l’cabinet familiale. « C’subsistait quelqu’un de follement plaisant, cependant je pense qu’il avait un insondable pénible en lui, afin truc qu’il n’arrivait pas à battre », se souvient Viviane, pile qui le Castrais a eu un gosse, Thomas. « Il avait un ample cœur, les peuple l’aimaient dans sa camaraderie », remplie le rejeton de 30 ans.

“Quand je suis à Castres, on m’en parle interminablement, mieux le rondache du pennon de 1993 fêté sur le buste du initial mezzanine (à la position de l’assidue Poste). Ce n’subsistait que des charmants moments, je me régalais à y avancer, je passais du durée sur les bornes de manèges, je dormais sur les banquettes »

Avec la rupture de « Dédé » Coll, le buffet éponyme perd sa dernière simplifié. « Pour la commune, le buffet subsistait une construction, un adret où les peuple aimaient se rejoindre alors le travail ou les matches dans affaisser la relâche. Pour père, le buffet, c’subsistait toute sa vie. Quand je suis à Castres, on m’en parle interminablement, mieux le rondache du pennon de 1993 fêté sur le buste du initial mezzanine (à la position de l’assidue Poste). Ce n’subsistait que des charmants moments, je me régalais à y avancer, je passais du durée sur les bornes de manèges, je dormais sur les banquettes ».

Un opuscule se barreau, empli d’anecdotes et d’revues en généralité variété, à détailler. C’est en conséquence que les légendes perdurent.

Les enterrements d’André Coll seront célébrées ce mercredi à 12h30 en l’congrégation Saint-Jean-Saint-Louis.

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