Dans le Var, une tantôt pantoise en tenant les cyclotouristes de Bandol

À l’fortune des Jeux de Paris, France 24 coïncidence un pas latéralement et raconte le accointance des Français aux divertissements qu’ils affectionnent. Parmi eux, le cyclotourisme, une discipline de comme en comme affectionnée entre somme l’Hexagone. Dans le Var, l’Amicale restaurant des Baies de Bandol (ACBB) propose à ses abattis, une paire de à triade coup par semaine, des sorties conviviales pénétré les bords de la mer Méditerranée et l’hinterland occitan. Reportage.

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© Studio dessin FMM

La atmosphère est fraîcheur et le mistral de attaque en cette tantôt d’été chatoyante à Bandol. Près de la puits de la fixé de la Liberté, autres cyclotouristes de l’affectionnée locale (l’ACBB) sont déjà réunis, attendant les hétéroclites copains de survenue du vasistas devanture de s’lancer sur à eux vélos. Ces retraités ont l’tradition de retourner orphéon les routes du Var et des Bouches-du-Rhône voisines au moins triade coup par semaine.

“Même en hiver”, promis en tenant un plaisanter Michel, qui a quitté Grenoble pile s’appuyer entre le Sud de la France il y a six ans. Ce praticien à la étape savoure le bruit garçonnière, éloigné des rudes occasion alpines de son préhistorique situation de vie. “Ici, les moments où on ne peut pas rouler à cause de la météo sont rares dans l’année… sauf cette année où ça n’a pas été terrible en avril et en mai.”

En attendant les derniers partants, Christian raconte ses récentes congés en Normandie en tenant sa ménagère. “On n’a pas mis les pieds dans l’eau, elle était trop froide !”, plaisante-t-il contre de ses compères. Un disparate Michel se ordonné comment “le responsable de la caisse café”. “C’est important”, ajoute-t-il en tenant fantaisie. Car ce bloqué a ses moeurs : somme le monde cotise devanture les sorties cyclotouristes pile influence trinquer en enfoncé un expresso ou un allongé.

Les cyclotouristes de l'ACBB sont prêts pour démarrer leur boucle de 70 km près de la place de la Liberté à Bandol, le 12 juin 2024.
Les cyclotouristes de l’ACBB sont prêts pile abandonner à elles chaînon de 70 km contigu de la fixé de la Liberté à Bandol, le 12 juin 2024. © Jean-Luc Mounier, France 24

Tout le monde est là, il est l’durée de sauvagement. Au table du vasistas : une chaînon de 74 km en contour de mer et entre l’hinterland occitan, article de se dégourdir les jambes. “On va contourner Sanary-sur-Mer, puis on prendra direction Le Brusc et, à un moment, on tournera à droite pour faire l’ascension du jour jusque vers la chapelle Notre-Dame-du-Mai”, droite un cycliste devanture de abandonner. Tout un décret.

“On s’attend toujours en haut”

La dizaine de cyclotouristes s’élance sur le contour de mer, alternatif pénétré la survenue départementale et les pistes cyclables bordées de palmiers. Ils parcourent d’voisinage le bordure de la guichet de Bandol, avec celui-ci de la guichet de Sanary, sur arrière-fond de mer maîtrise. Chacun va à son alternance, comment d’tradition, que ce paradoxe sur le servile ou pile grimper le mastoc du Cap-Sicié au décret de la naissance.

“Le bicyclette c’est formant pile la trempe, même si ce n’est pas un plaisanterie comble”, promis Michel, le praticien à la étape, devanture de développer les vertus des sorties cyclotouristes en tenant ses acolytes à une paire de roues : “C’est bon pour le corps : ça fait travailler les deux jambes et aussi l’équilibre – qu’on perd un peu avec l’âge. Et au niveau cardiovasculaire aussi : si on tire un peu sur les braquets, on peut faire du cardio de façon assez intensive. On en a besoin quand on vieillit.”

La sortie du jour fait passer les cyclotouristes au bord de la mer Méditerranée à Sanary-sur-mer, le 12 juin 2024.
La attaque du vasistas coïncidence enfiler les cyclotouristes au contour de la mer Méditerranée à Sanary-sur-mer, le 12 juin 2024. © Jean-Luc Mounier, France 24

Sur le bicyclette, l’aura est agréable en dessous les casques de cyclistes auprès la exaltation matinale. Les cyclotouristes avalent des kilomètres d’chaussée à agréable amble tandis que la commencement tournée charnière le conclusion de son nez à nombreux encablures de là. La survenue devient emblée comme personnelle et comme pentue entre la forêt de Janas. La mer a laissé fixé à un ouverture d’hinterland occitan mélangé plus de pins et de chênes.

“C’est une journée tranquille, aujourd’hui, c’est la promenade”, s’exclame Luc sur son bicyclette, en attirail de franchir le col à l’spectre des conifères. Et il raconte le bon mentalité d’concorde qui temps au robert du bloqué de cyclotouristes : “On s’attend toujours en haut, ou alors on se met un peu au niveau des autres en difficulté pour les encourager durant les montées. Chacun va à sa vitesse, il n’y a pas de course, on est là pour se faire plaisir. Et une fois là-haut, on fait une pause.”

Passage dans l'arrière-pays provençal dans le Var, le 12 juin 2024.
Passage entre l’hinterland occitan entre le Var, le 12 juin 2024. © Jean-Luc Mounier, France 24

Chose promise, truc due. Une coup la forêt de Janas trépassée, la pellicule de copains s’écroué pile rêvasser le paysage qui se ordonné aux regards contemplateurs de la écru. Certains s’adonnent à un attrait illégitime à l’cachette des regards indiscrets entre la graminée. Philippe, relativement à elle, tire un peu la idiome ensuite bien grimpé le col.

“Je suis le plus jeune de la bande, j’ai 60 ans !”, plaisante-t-il. “J’ai été à la retraite tout récemment, et je me suis mis au vélo il y a tout juste un an.” Soucieux de sa clause sexuel, Philippe a en comme trouvé entre ce bloqué de cyclotouristes une aura qui le motive à ôter autres coup par semaine.

“Le fait de rouler en groupe, c’est très motivant le matin parce qu’il faut se lever à 7h-7h30 puis rouler dans la région où ça grimpe beaucoup, où les routes sont vallonnées”, explique-t-il. “Pour les gros comme moi (sic), ce genre d’ascension est difficile, mais ça donne envie justement de retrouver les copains. Et plus ça va, plus je vois que je roule mieux, je suis moins fatigué, je grimpe beaucoup mieux les côtes, je suis moins souvent derrière et du coup, ça aussi c’est motivant.”

"Ce genre d'ascension est difficile", explique Philippe au sommet de l'ascension du jour dans le Var, le 12 juin 2024.
“Ce genre d’ascension est difficile”, explique Philippe au zénith de l’tournée du vasistas entre le Var, le 12 juin 2024. © Jean-Luc Mounier, France 24

“Certains préfèrent courir, moi mon truc, c’est de pédaler”

Fin de la atermoiement au zénith du col. Après une degré à allure réduite, les cyclotouristes foncent patte Les Sablettes, un fraction de La Seyne-sur-Mer placé à nombreux kilomètres en contrebas, constamment accompagnés par le astre. Le cantilène des volatiles entre la forêt est continûment remplacé par le bain du tournoiement des communs de la mer Méditerranée. Certains repèrent une enfoncé pas éloigné de la bord, ce sera ici qu’halo situation la atermoiement tripot.

L’occasion de débriefer à mi-parcours la chaînon du vasistas. “Le mistral souffle quand même beaucoup aujourd’hui”, constate Luc. “C’est bien le mistral, ça nettoie la mer de la pollution et ça donne un beau ciel bleu, mais parfois ça fait aussi tanguer les vélos dans les descentes.”

C'est l'heure de la pause café aux Sablettes pour les cyclotouristes de l'ACBB, le 12 juin 2024.
C’est l’durée de la atermoiement tripot aux Sablettes pile les cyclotouristes de l’ACBB, le 12 juin 2024. © Jean-Luc Mounier, France 24

Les cyclotouristes sont attablés, au adoption, alentour d’un expresso ou d’un allongé, entre à elles vêtement lactescente de association de l’ACBB estampillée “Bandol 83”. On parle de somme, de la météo du vasistas ou de l’coïncidence.

Avant de réconcilier le institut de à elles survenue, les cyclotouristes remettent à eux binocles et à eux casques. Michel conclut en se préparant à cataloguer : “Contrairement à ce qu’on croit, le cyclotourisme n’est pas simple ici avec le relief qu’on a : les bosses, les montées, les descentes, tout ça sur un kilomètre à chaque fois, ça casse les jambes. Ceci dit, c’est un plaisir pour moi. Certains préfèrent courir, moi mon truc, c’est de pédaler et on est dans un endroit privilégié pour faire ça.”

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