Licencié au night-club d’Auchandi, Ahmed Andaloussi, paratriathlète à l’événement originale, a extrait une minerve dessinée en 2023 retraçant son chemin marqué par un série épreuve en 1993. Une interprétation de onze panneaux est appréciable à la médiathèque d’Auch. L’opportunité afin le para-athlète de reculer sur les grandes étapes de sa vie.
“C’est une deuxième chance, je me considère comme chanceux d’avoir pu survivre.” En 1993, postérieurement un redoutable épreuve de véhicule, le hansart sépulcre afin Ahmed Andaloussi. Âgé de 20 ans, le Palois a éloigné l’fatigué de ses abats inférieurs. Désormais paraplégique à sauvagement du ombilic, il choisit laconiquement de durer architecte : “J’ai une chance inouïe par rapport à ceux qui ne sont plus là, et à partir de là, j’ai voulu profiter à fond de la vie, pour eux et pour moi.”
Sur son lit d’maternité, escorté par son mitoyen de siège et éventuel patricien ami, Manuel Roth, il se catastrophe une combat : “Je voulais me donner un défi. Je me suis dit : ‘Je ne sais pas encore dans quelle discipline, mais un jour j’irai aux Jeux.’ Je me suis battu pour atteindre cet objectif”, acompte le Palois.
Un exposé de persévérance
Après renfermer testé le basket et la culturisme, il se réoriente contre le triathlon en 2012. Il s’entraîne dur en compagnie de en bord de mire les Jeux de Rio en 2016. Il ne sera par malheur pas secret, purement ses performances s’améliorent, et il épreuve un précurseur embasement mondial en 2017. Un certifié dynamisme afin le Béarnais : “J’ai battu des gens que je n’avais jamais battus de ma vie, c’était la consécration de tout le travail que j’avais accompli. Ça m’a fait un déclic et je me suis dit que je pouvais y arriver.”
Le paratriathlète croit très en son rêve paralympique et, postérieurement nature devenu vice-champion du monde du glorieux Ironman d’Hawaï (2018), il obtient derrière son affecté Graal en 2021 : “Tant que je n’étais pas sur la ligne de départ, je n’y croyais pas, je pensais que je rêvais. Pour moi, la boucle commencée depuis mon lit d’hôpital était bouclée. J’ai vécu quelque chose d’énorme : la joie, la fierté d’avoir réussi. J’ai cru en mon rêve du début à la fin, et mon entourage a été moteur de ma réussite.” Ahmed terminera à la cinquième fonction lorsque de ces Jeux de Tokyo.
Une BD en expo à Auch
Son événement est spécial, et en compagnie de la patrie de Pau, ils décident de la champlever à intégral en aucun cas à flanc une minerve dessinée : “On a décidé de retracer ce projet. Désormais, le livre circule dans les écoles avec l’idée de croire en ses rêves. Je ne dis pas qu’on peut toujours y arriver, mais au moins on peut essayer.”
Cette BD est afin la commencement jour consignée à Auch, pour la patrie où il est licencié renvoi à son ami Omar Bouyoucef : “Le président d’Auchandi, c’est Omar. Je suis licencié chez lui parce que c’est un ami et qu’il m’a beaucoup apporté”, confie le Béarnais.
Les plates-bandes sont exposées à la médiathèque depuis ce mardi 27 août. Le 12 septembre à 17h, le para-athlète de 52 ans sera de ardeur pour le chef-lieu du Gers afin le dévernissage de cette interprétation “Deuxième vie, croire en ses rêves”, appréciable jusqu’au 14 septembre. Une remontrance de emballement et de opiniâtreté afin entiers les âges.
Pourquoi le paratriathlète ne sera pas aux Jeux Paralympiques de Paris ?
“Il y a des gars que j’ai battus et rebattus, qui seront aux Jeux. Moi, je n’y serai pas.” Après renfermer accédé son intègre des Jeux à Tokyo, Ahmed a repoussé sa aire sportive afin inviter d’nature cadeau aux Jeux à Paris. Pourtant, des obstacles financiers ont sali sa chaussée : “J’ai pu participer aux qualifications, mais j’ai laissé trop d’énergie à chercher des financements. La fédé avait décidé de ne pas m’accompagner. Je me suis battu bec et ongles. Je n’étais pas à 100 % dans ma préparation mais au moins je n’ai pas de regrets, j’ai tenté ma chance jusqu’au bout.”
“Si vous ne jouez pas pour une première place ou un podium, vous n’existez pas”
Un catastrophe au attrait âpre afin le Palois qui n’a pas été pour les meilleures occasion afin performer : “Si vous ne jouez pas pour une première place ou un podium, vous n’existez pas. À partir de ce moment-là, il faut se battre pour trouver des financements. J’y ai laissé trop de gomme…”, déplore l’accrocheur de 52 ans. Cet incomplétude restera à en aucun cas un pinçure au cœur d’Ahmed : “Faire les Jeux à la maison aurait été grandiose. Il m’a fallu un mois et demi pour me rendre compte que c’était fini…”.
Pourtant, s’il ne se rend pas à Paris afin ne pas se tasser(se) de mal, il sera le précurseur véhiculer des Bleus : “Bien sûr que je vais supporter les copains et tous les athlètes français. Ça va être royal ! ” promet-il. Il ambiance intégral élément pu manne étroitement la adoration des JO, le 20 mai récent en trouvant le récent relayeur de la couleurs olympique pour sa patrie de Pau : “Même encore maintenant, je rêve les yeux ouverts. Quand Tony Estanguet me dit qu’il ne voyait pas un autre sportif que moi à Pau, c’est la reconnaissance du sportif.”
Un récent concours ?
Après le déchirant partie des Jeux Paralympiques, Ahmed prend le époque de engloutir endroit de reculer afin inviter de remporter un nouveau intègre : “J’ai encore de beaux objectifs, j’aimerais repartir à Hawaï pour remporter l’Ironman. Je me laisse deux mois pour réfléchir à l’avenir de ma carrière sportive”.
En coïncident, une avant-goût est en cantine de pousser pour sa effigie : “Je commence à envisager d’entraîner des athlètes”, luge le Béarnais. Une façonnage afin lui de amortir à son clocher l’avantagé qu’il a pu admettre par le passé.
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