“Ils ont joué avec la vie de nos enfants” : la lignée Narjissi prédestination du intervalle puis la abolition de Medhi

Medhi Narjissi, page sportif du Stade Toulousain de 17 ans, est dépouille en Afrique du Sud arrivée août pendant qu’il rencontrait en même temps que l’troupe de France U18. La lignée a donné une entretien de pilule ce mardi 27 août.

L’chaleur rencontrait atroce, trop pointu. Mais la lignée Narjissi a exploité à s’décrire entrée la pilule, ce mardi 27 août, à Agen. Elle a répondu aux questions relatif à la abolition de Medhi, page sportif de 17 ans, pendant qu’il se situait en même temps que l’troupe de France U18 en Afrique du Sud.

Le géniteur, Jalil, vétéran sportif technicien, et Valérie, la mère, se sont exprimés. Le nettoyage et à elles égérie, Inès, la éternelle épouse de Medhi, sont arrivés droit entre la droit entrée la pilule, chez le relatent nos confrères de Midi Olympique.

“Et aucun adulte n’a rien fait ?”

Il a été fabuleusement questions du milieu de la abolition. Cette glorieuse littoral où les joueurs sont allés, néanmoins réputée dangereuse, où Medhi a manquant. “D’après le rapport de l’enquête et des auditions des enquêteurs sud-africains, c’est le préparateur Robin Ladauge qui prend cette décision (d’aller sur la plage), de sa propre initiative. Dans le rapport, Stéphane Camboz, le manager, dit aussi qu’il n’en était pas informé. C’est une décision que Ladauge a prise de lui-même”, explique Jalil Narjissi, entre des adresse relayés par le bi-hebdomadaire baraqué.

Djalil Narjissi, son demoiselle Valérie et sa égérie, Inès, subsistaient présents dans une entretien de pilule à Agen. Ensemble, ils ont avenant à elles cœur sur l’extraordinaire : la abolition de Medhi Narjissi en mer. Et à elles malveillance, colossal…

L’interview plénière : https://t.co/E0169QYomf pic.twitter.com/wbNNZKPmiO

— RUGBYRAMA (@RugbyramaFR) August 27, 2024

Après empressé mobilisé ce qu’il s’est passé, singulièrement sur la obstination de quelques joueurs d’progresser de dériver haro de Medhi, Jalil Narjissi ne comprend pas l’aspect du état-major. “Aucun adulte n’a bougé ? Un autre enfant a failli mourir, Noah, l’ami de mon fils, son frère (celui qui a été emporté en même temps que Medhi Narjissi, N.D.L.R.). Il l’a dit à son père qu’il avait failli mourir par deux fois, qu’il s’était accroché à un rocher. Oscar, lui, a mis plus de vingt minutes à revenir sur le bord. Alors qu’il fait 2 mètres et qu’il est un bon nageur. Et aucun adulte n’a rien fait ? Ils les ont laissés dans l’eau ?”, déclare le géniteur de la martyre.

“Ce n’est pas un accident, ça a été provoqué. Un accident bus, un avion qui se crashe, ou si Medhi se blesse et devient paraplégique, on est tous désolés, abattus. Mais pas ça, pas une chose comme ça. Ils ont joué avec la vie de nos enfants. C’est le nôtre qui a disparu. Medhi, c’était notre soleil. Mais ils ont aussi joué avec la vie des autres enfants, Oscar ou Noah, son meilleur ami, qui l’a vu mourir et qui s’est vu mourir aussi”, conclut-il. La malveillance et la déchirement sont immenses, entre une challenge de vie extraordinaire.

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