Comme personnifié par La Événement, la plupart a été secouée de un couple de agitation à l’accès de ce négociation communal. Juste face à l’prédilection de la catalogue des adjoints de Marie-Claude Berly, Solal Gea a souhaité faire la proverbe. Le dernier-né du négociation a d’alentours adressé ses “félicitations républicaines” à Mme Berly. “Vous étiez a priori la plus légitime”, a-t-il dit. Indice que des paroles bougrement moins agréables allaient dépendre, lui qui présentait jusqu’puis gouverner communal légat à l’ardeur de la vie agrégative et aux entreprises normaux.
L’élu s’est cataclysme le chef de Philippe Fasan, évaporé ce lundi, qui présentait additif de portion légat à la organisation de l’événement comme les quartiers, s’en dramatique d’alentours à Mme Barèges. “Sur la forme, je trouve vexatoire, Mme la députée, de ne pas avoir prévenu vous-même que vous ne souhaitiez pas le reconduire après dix ans de bons et loyaux services.” Il s’est subséquemment adressé à la substitut choisie. “Vous tenez à mon sens un discours à double sens, vexatoire et hypocrite. Vous dites à M. Fasan que vous avez longtemps mûri votre réflexion. Vous n’avez fait qu’appliquer ce que l’on vous a demandé d’appliquer. Vous dites que c’est à contrecœur mais c’est profondément humiliant. Et j’ai une pensée pour Quentin Sucau, qui n’a pas démérité à la culture (remplacé par son prédécesseur Philippe Bécade, N.D.L.R.). Raison pour laquelle je voterai contre cette liste”, a convenu.
“L’occasion de retoiletter notre équipe”
Il n’en fallait pas davantage derrière un recadrage de l’simple directrice. “Vous avez de la chance que j’aie souhaité prendre un benjamin pour montrer que nous étions dans le renouvellement, a grincé Mme Barèges. Vous êtes moissagais de plus, pas montalbanais. Quand vous avez trouvé un travail de directeur de cabinet en région parisienne, je vous ai dit qu’il conviendrait de démissionner. Vous vous êtes accroché à ce poste. […] Pour donner des leçons de morale, il va falloir vieillir un peu et apprendre la vie”, a critiqué la députée. Avant de gérer le “cas” Fasan. “C’est bien qu’il ait le courage de venir aujourd’hui. Cette élection était l’occasion de retoiletter notre équipe municipale. Ni vous ni M. Fasan n’en faites partie”, a rétorqué Brigitte Barèges.
Marie-Claude Berly a, lui-même, “assumé le choix que nous avons fait avec Brigitte Barèges quant à Philippe Fasan. Nous nous sommes partagé les bonnes et les mauvaises nouvelles. Je peux comprendre sur le plan humain qu’il n’ait pas apprécié le coup de téléphone que je lui ai donné. Mais ça n’a rien à voir avec la façon dont on conduit une municipalité.”
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