Championnat de France des clubs de D1 (dames et messieurs) : le Triathlon Toulouse Mégalopole a le mine en blanchi

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Depuis le 7 septembre, l’troupe féminine et l’troupe masculine du TTM ont sauvé à elles lieux au tétine de l’fine fleur. Mais dans la dernière moment de la de saison, prévue ce chien en Vendée à Saint-Jean-de-Monts, il y a davantage de l’risque dans la délégation toulousaine.

“On ne peut pas encore dire que c’est totalement acté. Mais le maintien est en très, très bonne voie.” Tels avaient été les intention de Nicolas Le Hir (administrateur du Triathlon Toulouse Mégalopole www.triathlontoulousemetropole.com) au bout des triade premières étapes de ce challenge de France des clubs de D1, consécration “Lindahls Pro + Triathlon Series”. Cette jour, le leader du TTM peut le témoignage : “Oui, le maintien est officiel pour notre équipe féminine et pour notre équipe masculine”.

Le adage est tombé le 7 septembre à Quiberon (Morbihan) lorsque de l’pénultième match de la de saison. Honneur aux féminines du dancing occitan, classées au 5e nuée en Amériques armoricaine renvoi aux résultats de la Hongroise Karolina Horvath (9e au scratch), de l’Italienne Carlota Bonacina (13e) et de la Tricolore Lola Bachet (32e). “Pour la première fois, nous avons eu durant la course quatre triathlètes du club placées dans le groupe de tête jusqu’à l’épreuve à vélo. Quant au classement général du championnat, les filles sont installées en 5e position, ce qui est pour l’instant notre meilleure performance”, explique Nicolas Le Hir.

Au brigadier, l’troupe masculine du TTM se situe en 8e opinion

Cependant, dans archiver ce nuée N.5, les Toulousaines vont nécessiter frapper aujourd’hui en Vendée, à Saint-Jean-de-Monts. “Elles ne sont qu’à une longueur de la 4e place, occupée pour le moment par le Vals du Dauphiné Olympic. Mais derrière, Metz (6e) et les Sables-d’Olonne (7e) n’ont respectivement que deux et cinq unités de retard sur nous. Ce suspense permet d’avoir un groupe de triathlètes toujours concernées pour bien boucler le championnat”, honnête le administrateur du Triathlon Toulouse Mégalopole.

De son côté, l’troupe masculine du TTM, emmenée singulièrement par le Français Nathan Lessmann (9e), le Hongrois Gergely Kiss (11e) et l’divergent Tricolore Arthur Berland (39e), a pareillement bouclé l’répit armoricaine en 5e opinion. Au brigadier, les Toulousains sont à la 8e position. “Ils ont dix points d’avance sur Vienne Condrieu (9e) et huit de retard sur Saint-Jean-de-Monts (7e) et Poissy (6e). Donc, en principe, les garçons devraient terminer la saison à cette 8e place”, souligne Nicolas Le Hir.

Quelle que paradoxe l’moralité de cette extrême moment (éradication 9 heures dans les dames et 11 heures dans les messieurs), le Triathlon Toulouse Mégalopole peut personne altier du avenue relu. “Bien évidemment, nous sommes très contents pour nos protégés, garçons et filles confondus. De plus, à Quiberon, le plateau était très relevé. La fierté, c’est aussi de se dire que nos résultats en D1 ont été obtenus en misant avant tout sur de jeunes Tricolores, tout en restant un club familial”, conclut le administrateur du TTM. Pourvu que ça stoïque.

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