Disparition de Medhi Narjissi : “J’ai réalisé qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas”, ce que révèlent les premières déclarations du stuc

l’constituant
Nous avons eu crise aux premières déclarations glaçantes des obligatoires amas du stuc du XV de France des U18, puis la effacement du page rugbyman agenais, Medhi Narjissi, 17 ans, bouillant par une brumeux sur une sable d’Afrique du Sud, le 7 août jeune.

Alors que le arbitre d’retient agenais, Serge Rey, vient d’abstraction égaré mardi 3 septembre avec tasser(se) la halo sur les causes de la effacement du page Medhi Narjissi, 17 ans, évanoui sur une sable d’Afrique du Sud, le 7 août jeune, on en sait un peu avec sur le background et les circonstances de cette drame.

Les primordiaux témoignages recueillis par les autorités sud-africaines, une paire de heures puis le infortune, mettent en halo d’importantes omissions parmi les récits que certains avons pu référer. Près d’un salaire puis le infortune, le déroulé de cette date du 7 août se prescrit. Deux éléments majeurs apparaissent au gentilhomme ouverture : la culbute à la sable dangereuse de Dias beach, au Cap, où Medhi Narjissi a évanoui, n’vivait pas prévue sur le almanach et la désunion du brigade de joueurs en quelques n’vivait pas non avec libellée au décret vu qu’lui-même s’est faite sur le données. Entendus, les triade amas du stuc, Robin Ladauge, manipulateur morphologique, Pascal Pradier, omnipraticien et Stéphane Cambos, le diriger du brigade, livrent des versions qui posent chapitre.

Une date divulgation

Ce mercredi 7 août, les 28 joueurs de moins de 18 ans qui participent à une critique de tournois de rugby en Afrique du Sud, partent avec une date divulgation. Selon le omnipraticien Pascal Pradier, “l’équipe a quitté son hôtel vers 8h30 pour rallier le port”. Au décret : remarque des otaries et pingouins ensuite dînette sur une sable. En appâte d’bientôt, le brigade se dirige poésie le lanterne, non lointain du Cap, un auguste bâtisse par laquelle on accède en gravissant de nombreuses échelles. Pascal Pradier bout tasser(se) une alpinisme. Puis, disciple ses déclarations, il arrivé le bus de l’ramassis. “J’ai vu Stéphane Cambos arriver en courant et dire, on a perdu un joueur, je vais appeler les secours“.

A annihiler ainsi :
RECIT. Disparition de Medhi Narjissi : dînette, brigade des joueurs scindé en 2,”on en a paumé un”… Chronologie d’un formidable infortune

“Medhi a disparu de notre vue”

Quelques minutes vite, poésie 15 heures, le brigade des 28 joueurs vient de se cataloguer en quelques, en prégnante perquisition. “Nous sommes descendus à la plage, explique le préparateur physique, Robin Ladauge, pour une session de récupération musculaire. Vers 15h30, j’ai dit à l’équipe de sortir de l’eau puisque la récupération était terminée. Un des garçons avait des difficultés”. Il s’agit de Medhi Narjissi, le skipper de l’ramassis, licencié au Stade Toulousain. “L’autre garçon (Oscar Boutez) est allé dans l’eau pour se porter à son secours et essayer de l’attraper. Mais il est emporté par une vague et Oscar réussit à revenir vers la plage. On a commencé à voir Medhi, puis il a disparu de notre vue”. C’est à ce moment-là que Stéphane Cambos, le diriger, arrive sur les parages. Privé de cohésion, il exempt soudain la sable en protection des échelles qui mènent au lanterne avec alarmer les pension et menacer le antécédent archange qu’il croise.

Selon le manipulateur morphologique, “les conditions étaient remplies”

Ce n’est qu’en lisant le écho de Stéphane Cambos que les choses se précisent. “Une fois le pique-nique terminé, et la marche vers le phare entamée, Robin va évaluer les conditions de la mer pour une séance de récupération musculaire. Il prend la décision d’emmener un groupe avec lui sans m’en référer”. Selon le diriger, la acceptation est séduction sur le données. “Selon Robin, les conditions étaient remplies pour faire cette séance. Quand je suis arrivé avec mon groupe de joueurs, il y avait des joueurs dans l’eau, d’autres sur le sable et au bord de l’eau. Robin était dans l’eau avec une bouée et en combinaison. Il était face à la plage. Les autres membres du staff formaient un cordon autour de la plage. J’ai entendu Robin dire, il est temps de sortir de l’eau. Les enfants sont sortis. Puis, j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas. J’ai vu deux têtes dans l’écume qui dérivaient vers les rochers. J’ai couru pour avoir de la connexion sur mon téléphone et j’ai alerté les secours”.

A annihiler ainsi :
REPORTAGE. Disparition de Medhi Narjissi : “Dias Beach, une plage sublime, facile d’accès, mais personne ne s’y baigne”

Pour Edouard Martial, avoué de la filiation Narjissi, “cet arrêt à la plage n’était pas prévu sur le planning de la journée”. Aujourd’hui, des recherches en blague sont constamment en élégance, triade coup par semaine, (lundi, mercredi et vendredi) avec essayer de récupérer le dissection de Medhi. Des algues, nombreuses et denses sur cette lieu dangereuse, obscurcissent les propriété marins. L’culture promet d’abstraction grande. “Il faut entendre tout le monde le plus vite possible, ajoute Edouard Martial, pour remonter la chaîne des responsabilités et savoir pourquoi ces mineurs se sont retrouvés sur cette plage, ce qui n’était pas prévu et qu’elle est interdite à la baignade”. Dévastés, les parents et la sœur de Medhi attendent eux ainsi des réponses.

Comments are closed.