Handball : comme la même feuilleton avec l’Usam, qui commence son compétition à Paris faciès au PSG

Nouveau entraîneur, néophyte année

Depuis le initiation de Franck Maurice, le duo Yann Balmossière-Jérôme Chauvet et le chant Ljubomir Vranjes se sont relayés à la mine de l’gréé gagnante. Sans prince prospérité et hormis Europe (Nîmes 7e, 5e et 6e ces triade dernières saisons ; 5e, 3e et 5e les triade précédentes en même temps que Maurice, triade qualifications continentales à la clé).

Après un extrême occupation pendant lésiner “il a fallu se réinventer toutes les semaines” continuateur David Tebib, le directeur usamiste veut “rebâtir dans la durée” : cet été, il a décrété “l’an 1 d’un nouveau cycle, la première page d’un nouveau chapitre. On est dans une véritable reconstruction (5 arrivées, 7 départs dont les historiques Dupuy et Gallego, NDLR). Il faudra sûrement de la patience, et vous savez combien je suis impatient”, glisse-t-il.

Le patron du canne gardois depuis 2012 a de ce fait hospitalier l’ère David Degouy (44 ans), décidé par sa goût de boum, sa polyvalence et son étude multi-cartes. “Il va falloir beaucoup travailler. Je le dis pour que les joueurs l’entendent. Le but, ce sera d’abord d’imposer notre défense à l’attaque adverse et avoir le sens de l’accueil dans nos 9 mètres, sourit l’ancien adjoint de Patrice Canayer au MHB. Et aussi de se replier très fort et se projeter très rapidement : ce doit être notre première arme offensive.” Ça cercueil entreprenant, à Nîmes, on affectionné bougrement ça.

Le constat de la accomplissement

Deux victoires et triade défaites, le constat des matches amicaux est contrasté, perturbé par la non intéressement au concours de Cluj (Roumanie, congédiement la Lufthansa qui a aucun le vol) qui a freiné la avènement en énergie programmée de la Green team.

Tout même les coups des gauchers (Tobie, Abdelhak, Peyre). L’Usam a entreprenant aguerri en éminence Toulouse entrée de se intituler à Nancy (D2, 30-28), mardi en Coupe de France.

Le comme pointue avec préluder

“On est sûr d’être attendus”, instruit le directeur Tebib. “En mai, tout le monde nous voyait perdants et on a gagné”, rappelle le conducteur Rebichon. Le 19 mai, un ajour de feria, les Nîmois avaient résultat la collecte en s’colossal à Coubertin faciès au PSG (33-32), invaincu chez sa foire en compétition depuis triade ans et un salaire.

Les Parisiens s’en souviennent forcément et là non comme, ce ne devrait pas personne la même feuilleton… Commencer comme le décuple gagnant en écusson, de ce fait par le concurrence le comme pointue de l’période, c’est “plutôt bien : on peut espérer qu’ils ne seront pas prêts à 100 % car ils ont eu pas mal d’absents pendant la “prépa”, avec les JO, estime Acquevillo. Mais ça reste une très belle équipe, qui sera revancharde et qui va s’attendre à un gros match après notre succès là-bas. Il faudra arriver à mettre le grain de sable qui fera enrayer leur machine”.

“Il faut y aller pour tout casser, embraye son coach. Sans peur mais avec enthousiasme : on a tout à gagner face à un club qui est champion depuis dix ans. Zéro problème, on fonce ! Ça va nous mettre dans le bain et nous challenger sur le rythme. Ce sera un vrai match de Coupe d’Europe.” En espérant la rejoindre à la fin de la cycle.