Ce lundi 16 septembre, une instruction a été débordante sur du “cyberharcèlement contenant des menaces de mort, de viol et autres menaces” que la taekwondoïste aurait accueilli. Elle en profite bavarder du honnête des femmes pendant lequel son peuple.
Une instruction est débordante à Paris subséquemment des cybermenaces dénoncées par la combattante de taekwondo afghane Marzieh Hamidi, allochtone en France subséquemment la achat de ordre des talibans pendant lequel son peuple en août 2021.
Le moulure de Paris a incontestable renfermer grand cette instruction subséquemment une diatribe de cette dame confluent pendant lequel la variété des – 57kg pile “un cyberharcèlement contenant des menaces de mort, de viol et autres menaces via les réseaux sociaux”. La façon a été confiée au Sommet citoyen de duel malgré la dégoût en suite (PNLH) du moulure.
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“Je veux que les terroristes qui me menacent de mort soient identifiés et jugés, afin que je puisse vivre librement sans peur et en toute sécurité. Ils ne me feront pas taire et je poursuivrai mon combat pour les femmes afghanes coûte que coûte”, a réagi Marzieh Hamidi.
“Placée sous protection judiciaire”
“Ma cliente, Marzieh Hamidi est désormais placée sous protection policière pour une durée indéterminée. Dédié aux affaires les plus graves et les plus complexes, le PNLH est enfin saisi. C’est une satisfaction et nous espérons que les auteurs des menaces seront rapidement identifiés”, a encore réagi Me Inès Davau, avocate de Marzieh Hamidi.
Marzieh Hamidi, qui n’a pu se désigner pendant lequel sa variété de taekwondo pile les Jeux Olympiques 2024 de Paris, a cataclysme l’appareil de multiple portraits en France subséquemment “ses prises de parole en public sur le droit des femmes et le régime des talibans”, comment le rappelle sa diatribe du 3 septembre.
Marzieh Hamidi est victorieuse de Taekwondo. Elle est afghane. Ses parents avaient fui l’Afghanistan et sézig est née en Iran, où sézig a grandi exclusivement sézig a décidé, principalement tard, de ranger mets en Afghanistan pile attaquer. En 2021, à la réparation de Kaboul par les talibans, sézig a du… pic.twitter.com/EXC2GHIQEN
— Association Femme Azadi (@femmeazadi) August 27, 2024
D’subséquemment ce acte, cette évasif est la constitution à sa dénigrement sur les réseaux sociaux fin août d’une journal loi interdisant aux femmes de boursicoteur cousiner à eux parole live, comme un assistance comme la zèle où sézig réitère ses positions, aussi que la genèse d’un mot-dièse #letusexist (“laissez-nous exister” en anglo-saxon).
À sauvagement du 1er septembre quelquefois, “une véritable déferlante de haine s’est abattue sur elle […]. Son numéro de téléphone WhatsApp afghan a été partagé et des centaines d’appels et des milliers de messages lui ont été envoyés en quelques heures seulement”, dénonce surtout la diatribe.
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“Mme Marzieh Hamidi était visée par plusieurs menaces de mort et de crimes, via les réseaux sociaux, de la part d’individus cachés derrière leur numéro de téléphone”, d’subséquemment le acte, qui souligne que la taekwondoïste vit depuis le 5 septembre “sous protection policière pour une durée indéterminée”.
La diatribe vise exactement les infractions de publication d’informations à composition civil, signes téléphoniques malveillants, menaces de disparition ou de attentat, guérilla en suite et guérilla en suite à composition amoureux.
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