“J’ai remis une médaille paralympique” : engagement, dignité, attitudes à déifier… Kamel Chibli raconte

Le vice-président de la préfecture Occitanie, Kamel Chibli, a reporté des médailles sur quatre podiums divergents sur ces Jeux Paralympiques. Protocole, publication, dignité… C’est continuum un machine à déifier.

C’est une étroite distinction spéciale moyennant mythifier un caîd. Mais cette étroite distinction doit subsister modeste, constamment entre la digue. Remettre une attestation olympique ou paralympique candidature des menstruations, n’est pas similaire un occasion de dérivatif à affectionner.

Kamel Chibli, vice-président de la préfecture Occitanie, en a distribué quatre endéans les Paralympiques. Avec sa mérite de partisan du Conseil d’économat de Paris 2024 depuis huit ans, le Comité d’combinaison des Jeux Olympiques l’a contacté. “Il y a un mois et demi, le Cojo nous proposait d’être des “remettants”. On pensait qu’on ne remettrait que les cadeaux, mais non, c’était pour les médailles. Trois semaines après, on nous communiquait les sports (poids, javelot, badminton, natation dans son cas). En général, tu ne dis pas trop que ce jour-là tu as piscine ou une réunion, tu y vas”, sourit l’un des embiellage pouvoirs de Carole Delga, présidente de la préfecture Occitanie.

“Il faut rester le plus pudique possible”

Une jour la ratification affirmation, “tu reçois un document de 10 pages” sur toutes modalités à déifier le jour-J. “Ils insistent sur plusieurs points. D’abord, le comportement à avoir. Il faut être neutre. On ne doit pas porter de signes ostentatoires, religieux, politiques ou institutionnels. Une tenue correcte et exigée. Et surtout, c’est le moment de l’athlète, pas celui du remettant. Il faut rester le plus pudique possible”, explique Kamel Chibli.

Il encourage : “Ensuite, il y a la dimension handicap à prendre en compte. En fonction de celui-ci, il faut s’adapter.”

Une jour ces modalités réunies, il appoint un peu de empressement moyennant affectionner le occasion. “C’est beaucoup d’émotions. Ce sont des athlètes extraordinaires. Moi, j’étais un peu gêné, je me demandais un peu ce que je faisais là. J’étais très ému. Tu vois la médaille, tu la touches. Être au stade de France, dans mon pays, il y a de quoi être fier. Puis il y avait un peu de région Occitanie présente à Paris”, assure l’élu, occasionnellement le terminal à couler un mot xénophobe.

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