SÉRIE 3/7. Pour exalter les Jeux Paralympiques, la Information du Midi vous-même propose quelque aération d’porter à la révélation de ceux-là qui pratiquent le délassement en tenant à elles p’tit truquage en alors. Évitement par la loge de Cahors, qui permet à Dominique Breckenfelder et d’méconnaissables de commandement s’oindre.
“Faire de l’activité physique en fauteuil, c’est limité alors ça, ça me permet de bouger et de pouvoir faire du sport”, confie Dominique Breckenfelder, un ressortissant du Grand Cahors. Ce extrême est amputé de départ. Grâce à la chapitre handi de Cahors Natation, laquelle il est icône, il peut s’oindre.
Cela conte quatre ans qu’il en conte à Cahors. “Avant, j’en ai fait pendant plusieurs années avec mon père. J’avais une dizaine d’années quand on a commencé. J’ai dû faire une pause pendant mes études de droit, qui ont duré dix ans. Là, j’ai repris avec ma compagne”, explique-t-il. Cette dernière, Vanessa, conte équitablement de la crawl de son côté, pourtant entiers les samedis, elle-même accompagne Dominique quant à son espèce d’une durée. Un période gratifié quant à le ménage : “Cela permet de partager un moment ensemble hors de la maison, et d’être dans la piscine tous les deux”.
“Je ne nage qu’à la force de mes bras”
Pour la défi à l’eau, il faut du sexuel défini. “C’est un appareil équipé d’une sangle qui me descend dans l’eau. Il faut toujours quelqu’un avec moi : je ne peux pas rester seul. Quand on nage comme ça, on peut avoir un coup de fatigue et ne pas s’en rendre compte, il faut que quelqu’un jette un œil sur nous”, bouture Dominique. Dans l’eau, celui-là conte deux travaux. Par prototype, on lui met une frite en coutumier de U dessous les aisselles. “Ça me donne la liberté de nager avec mes bras. Je ne nage qu’à la force de mes bras. Et de cette manière, je me sens aussi en sécurité”, traîneau le financier de Cahors Natation.
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Une entraîné qui apporte un transparent félicité au Cadurcien : “Je suis capable de faire du sport comme quelqu’un de valide. Cela me permet de ressentir certaines parties de mon corps et de faire des mouvements que je ne peux pas faire hors de l’eau”. Mais c’est pareillement une précieux d’entreprenant de la vie sociale. “On rencontre du monde. Nous sommes une vingtaine en tout. Et cela permet aussi aux aidants d’échanger entre eux”, décrit celui-ci qui, alors un master de franc sociable, a acheté trio capacités en franc notarial, franc des accoutrement et franc de l’immobilier. Le Cadurcien a équitablement décroché un emblème technicien d’annexé en RH (Ressources Humaines).
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Avant, Dominique pratiquait le tir compétiteur à la mousqueton tel quel que le tir à l’arc. Il a arrêté aujourd’hui quant à se monopoliser sur la crawl. Mais il participe équitablement à la psallette de Bégoux. Entre toutes ses activités, le Lotois suit précautionneusement les JO. “C’est la première fois, il me semble, que l’intégralité des Jeux Paralympiques va être diffusée. C’est peut-être parce que c’est à Paris, mais c’est dommage qu’ils ne l’aient pas fait avant. Les athlètes paralympiques sont égaux aux autres, il faut les mettre au même niveau que les valides”, estime-t-il. Dominique avait soutenu la triomphe de Léon Marchand. “Ça a un écho particulier, estime-t-il. Il fait partie de la ligue de natation en Occitanie, cela pourrait donner envie à plein de personnes de pratiquer la natation !”. Le Cadurcien conclut : “malgré mon petit truc en plus, je suis capable de faire du sport !” Ce qu’il souhaite : que les nation handicapées n’aient pas affolement de se commencer et rejoignent le dancing de Cahors Natation.
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