Le communiste Paul Planque, (déjà) inspirant aux élections municipales d’Alès

Le responsable du bloqué du Printemps alésien panneau créature “disponible” vers convoiter à frais le fortin de proconsul aux prochaines élections en 2026.

Cette panneau n’est pas clairement une perception. Quelques heures postérieurement la réunion du NFP pour la accessit de Michel Barnier à Matignon, l’élu d’contradiction Paul Planque confirme sa demande aux prochaines élections municipales d’Alès, en 2026.

Christophe Rivenq, “RN-compatible”

Dans sa assertion, le communiste raffolé “majoritaires” les attentes des Alésiens à “plus de justice sociale”. Et veut s’arborer essentiellement dans notable contradicteur du préexistant adjuvant Christophe Rivenq, remplaçant accueilli de Max Roustan vers la hôtel de ville, qu’il accuse d’créature “RN-compatible” et inspirant vers agréger “le gouvernement félon, mais adoubé par le RN” du frais Premier plénipotentiaire.

“Je ne pense pas être dans le gouvernement de Michel Barnier”, avait malgré utile Christophe Rivenq pendant nos colonnes ce sabbat 7 septembre, en démentant toute similitude derrière le frais preneur de Matignon.

Avant les législatives de cet été, Paul Planque avait déjà ouvertement reproché au duo Roustan/Rivenq une formalité de indifférence endroit à la source du RN. “Il n’y a pas de cons, de méchants ou de gentils ; il y a des électeurs, lui avait répondu Max Roustan lors du conseil municipal du 30 juin dernier. Moi, je vote comme je le fais depuis trente ans… et je n’ai de leçon à recevoir de personne.” “N’attendez pas de nous des consignes de vote, mais vous ne pouvez pas feindre nos prises de position, à Max Roustan comme à moi-même, contre les extrêmes.”, avait puis claustré Christophe Rivenq.

Pour allégorie, en 2020, la bibliographie contrecoup par le proconsul Max Roustan avait été réélue dès le préexistant flux (56,80 %). Celle du Printemps alésien procédé par Paul Planque trouvait survenance allié, derrière 22,84 %.

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