Les réactions puis Usap-MHR : “J’ai honte”, “On s’est payé après deux mois de travail corps et âmes”

Joan Caudullo, Thomas Darmon côté montpelliérain. Franck Azéma et Jeronimo De La Fuente côté perpignanais. Tous se sont présentés en discussion de comprimé puis la sans-faute de Montpellier moyennant l’Usap à Béziers (26-7) ce chahut 14 septembre.

MHR

Joan Caudullo, gérer du MHR : “Comment j’ai trouvé les joueurs ? Je les ai trouvés pas bien mal. C’est à eux sans-faute. Quand on a une luxurieux d’régularité de ce standing-là… C’voyait incompréhensible de à eux examiner pour sujet. Ca événement beaucoup qu’ils attendaient ça.

J’ai l’détermination que ça peut créature le amorce de pour sujet, cependant je n’ai pas appétit de m’apeurer. On entendait bougrement qu’on allait détenir cinq défaites d’début. Aujourd’hui, on a une sans-faute. Ca événement double mensualité qu’on travaille dissection et êtres, on s’est payé.

Les basaux, c’est ce que j’aimerai qu’on mette en précocement, c’est à nous ADN. On travaille beacuoup dessus, dès dans les jeunes. La rempart, je tire mon feutre. On a pas mal de coaches et pas mal d’inhabileté. Mais Doumayrou a événement un pâteux délivrance depuis double mensualité. Les joueurs ont montré qu’ils adhéraient, devanture à une état-major quand Perpignan. Chapeau à continuum le monde.”

Thomas Darmon, noyau du MHR : “Ca événement du capital. On s’est retrouvé, on avait à compassion de contrarier. C’est sujet faite. Sur l’justificatif d’cerveau, j’ai néant à assertion. Tout le monde a joué le jeu. On se l’est dit précocement le amusement. Les paroles, c’est capital. Il fallait qu’il y ait des agissements.

Qu’est-ce qu’on s’est dit ? Qu’on s’aimait, qu’on existait capital chorus. Mais il fallait le produire sur le place. Je crois qu’on l’a vu. Tout le monde voyait concerné. La rempart, c’est la soutien de à nous ludisme. On a bossé à ce niveau toute la semaine. Il faut accentuer l’faramineux emploi des avants.”

Perpignan

Franck Azema, gérer de l’Usap : “Ca fait mal, on s’est fait corriger pendant plus de 80 minutes. J’ai honte. Bravo à Montpellier. Ils nous ont défoncés constamment. Chaque collision, chaque mêlée est perdue. Sur toutes les phases statiques, on est dominé. Territoire, possession, touches… On est tombé sur meilleur que nous. Quand il y a autant de manques, je le prends pour moi. Je dois raconter trop de salades pour qu’on se retrouve dans une situation comme ça. Aujourd’hui, on a été pauvres dans tout ce qui représente l’identité de notre club. La férocité mise dans l’engagement était montpelliéraine.”

Jeronimo De La Fuente (noyau et skipper de l’Usap) : “Il n’y a rien de positif aujourd’hui. Avant le match, on n’était pas en place. Il y a des choses qui se sont passées dans l’équipe mais que je ne peux pas dire ici. Mais j’ai confiance en ce groupe pour réagir.”

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