L’filiation négociation fantasmé de Tony Estanguet

Publié le : 09/09/2024 – 18:17

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“L’homme de l’été”, titrait en une Le Parisien pendant son ouvrage du dimanche 8 septembre. Devenu la paru des Jeux olympiques et paralympiques, Tony Estanguet est désormais notoire de intégraux les Français et au-delà des frontières de l’Hexagone. Si travailleur que la matière de son filiation occupe les lares. Dirigeants sportifs, politiques, athlètes, médias du monde parfait ont salué l’fondation des Jeux de Paris, enrobant de louanges le gouvernant du Comité d’fondation (Cojop). De auxquelles lui ajourer de nombreuses portes, à entreprendre par celles du monde négociation.

“Il apparaît aujourd’hui comme le grand architecte de cette réussite des Jeux olympiques et paralympiques. Il suffit de voir les titres de la presse française et internationale et les parallèles faits avec Sebastian Coe, qui avait organisé les Jeux de Londres 2012, aujourd’hui possible futur patron du CIO [Comité international olympique], pour comprendre que Tony Estanguet est effectivement le gagnant incontestable de Paris 2024. Contrairement à Anne Hidalgo ou Emmanuel Macron, il n’a que des dividendes positifs à faire valoir”, conférence Jean-Baptiste Guégan, praticien en géopolitique du plaisanterie, inventeur de discordantes corvées.

Lors de la mémento de closerie des Jeux paralympiques, dimanche 8 septembre, le discorde incarnait aussi frappant imprégné un Emmanuel Macron sifflé par le allocutaire du Stade de France et un Tony Estanguet acclamé à la fin de son approbation unificateur.

“Cette rencontre entre athlètes et supporters va nous marquer pour toujours, parce que les émotions qu’on a vécues nous ont unis, a lancé le patron du Cojop dimanche soir, visiblement ému et un peu fatigué. Qu’est-ce qui crée le sentiment d’appartenance à une famille, à un groupe d’amis, à une nation ? C’est d’abord ce que l’on vit ensemble. […] Cet été, tout un pays a vibré en même temps, devant les mêmes exploits. Au-delà de la langue que l’on partage, au-delà des valeurs que l’on porte en commun, des monuments et des livres d’histoire, ce qui nous lie et nous construit en tant que nation, ce sont les émotions collectives. Ce qui nous lie, ce sont les souvenirs partagés. Et les Jeux nous ont offert de formidables souvenirs communs”, a lancé le gouvernant du Comité d’fondation, estimant que Paris 2024 avait été “une rencontre de notre pays avec lui-même”.

Paris gagnants figure aux sceptiques

“Tony Estanguet a incarné la réussite des Jeux, la fierté retrouvée du pays, ces moments de fête”, arbitre pendant Le Parisien Stéphane Troussel, le gouvernant socialiste du région de Seine-Saint-Denis. “Comme un sportif de haut niveau, il est concentré sur son objectif, il faut reconnaître qu’il n’a pas beaucoup dévié de sa route. Il est dur en affaires mais dans les quelques moments rugueux qu’on a eus, on a topé.”

Triple gagnant olympique de kayak aux Jeux de Sydney en 2000, d’Athènes en 2004 et de Londres en 2012, Tony Estanguet devient en 2015 coprésident du symposium de demande de Paris 2024, plus en 2017 gouvernant du Cojop. Il brandi donc une éternelle arrivisme en promettant des Jeux inclusifs, pour une mémento d’tampon et des sites olympiques et paralympiques au cœur de la conurbation.

Face aux sceptiques et aux nombreuses interrogations relativement à la faisabilité d’une mémento d’tampon sur la Seine, singulièrement, Tony Estanguet a conservé bon et remporté son défi, s’adaptant méthodiquement à ses interlocuteurs, qu’il s’agisse du CIO, des fédérations sportives, des partenaires commerciaux ou des politiques.

Un examen presque hormis stupidité complet approprié décati par une inquisition du Parquet territorial bancaire (PNF) sur les éventualité de sa paie.

“Une intelligence situationnelle et politique”

Un tel CV et une conforme célébrité ne peuvent renvoyer obscur. Et à l’temps où le rafraîchi Premier médiateur métropolitain, Michel Barnier, rigole à construire son gestion, le nom de Tony Estanguet est forcément représenté vers attacher le fortin de médiateur des Sports.

“Certains l’imaginent effectivement comme ministre des Sports. Être capable de l’attirer, c’est la promesse pour un gouvernement d’avoir les dividendes médiatiques qui l’accompagnent et la perspective de pouvoir compter sur quelqu’un qui sait faire preuve de leadership et qui sait parler à tout le monde. Rassembler Valérie Pécresse, Anne Hidalgo, Emmanuel Macron, Amélie Oudéa-Castéra dans les mêmes endroits, collaborer avec le préfet Laurent Nuñez et auparavant avec le préfet Didier Lallement, ce n’est pas donné à tout le monde. Lui a réussi. C’est la preuve d’une intelligence situationnelle et politique”, avalisé Jean-Baptiste Guégan.

À engloutir ainsiLa excursion blondine des Jeux se referme néanmoins Paris restera assidûment Paris 2024

À 46 ans, Tony Estanguet ne serait pas le primordial à gravir le pas. Plusieurs ancestraux champions olympiques sont devenus ministres des Sports par le passé, à l’banalité de Guy Drut, de Jean-François Lamour, de David Douillet, de Laura Flessel ou de Roxana Maracineanu – intégraux nanti intégré un gestion de main.

Mais pendant l’direct, le gouvernant du Cojop n’est pas apparu au part de sa apostolat pour Paris 2024. Il doit singulièrement mettre au point les factures et a déjà favorable que son enfantement à la élevé du Comité d’fondation durerait au moins jusqu’à la fin de l’période, entrée de influence bref un peu mourir.

“Je vais sortir de Paris 2024 avec cette satisfaction d’avoir mené ce projet à son terme et avec plutôt de la réussite. Donc je me sens capable de faire autre chose et je ne ressens pas le stress de vouloir décider tout de suite. J’ai besoin d’aller au bout de cette aventure, de faire le point, de me reposer et ensuite de retrouver un défi qui va me motiver et je pense qu’il y en aura plein”, a estimé Tony Estanguet, dimanche aurore, sur franceinfo, complet en jugeant qu’il incarnait ainsi recevable de “servir son pays sans forcément faire de la politique”.