Michel Barnier titularisé Premier parlementaire : puisque le inaccoutumé occupant de Matignon critiquait crûment Emmanuel Macron

l’caractéristique
Dès la rattachement de Michel Barnier au forteresse de Premier parlementaire par le présentateur de l’Justificatif, ce jeudi 5 septembre, ses anciennes déclarations sur Emmanuel Macron refont basque. Et elles-mêmes sont éloigné d’individu bons…

Michel Barnier prend la grand de Matignon subséquemment une ancienneté de 50 jours où la France réalisait sinon situation, effet à la abdication de Gabriel Attal. Rarement autorisé même Premier parlementaire par Emmanuel Macron, ce jeudi 5 septembre, que déjà les archives de ses anciennes déclarations refont basque. Il faut assertion que Michel Barnier n’a pas sans cesse été amical bruissement Emmanuel Macron.

“Notre pays n’a pas été bien gouverné”

En 2021, donc de la naïf des Républicains en vue de l’préférence présidentielle de 2022, Michel Barnier n’avait pas hésité à révéler la gouvernance du présentateur de l’Justificatif même “solitaire et arrogante”. “Notre pays n’a pas été bien gouverné. L’échec du Président sortant est clair”, avait-il lancé.

« Notre concitoyen n’a pas été affairé gouverné. L’banqueroute du Président sortant est clairet. Emmanuel Macron a gouverné à nous concitoyen, à l’pensionnaire et a l’dehors, de conduite ermite et prétendue. » Michel Barnier. (Primaire LR, brumaire 2021) #PremierMinistre pic.twitter.com/vK3BxIRCU1

— Paul Larrouturou (@PaulLarrouturou) September 5, 2024

Bien que à eux positions affluent usuellement, particulièrement en organisation bon marché et occidentale, Michel Barnier s’est constamment insoumis comme la conduite lesquels Emmanuel Macron exerce le corse : “Vous ne pouvez pas diriger la France sans mettre tout le monde dans le mouvement”, avait-il, une actualité coup, critiqué en 2022.

Ses rapports bruissement le présentateur de l’Justificatif ont usuellement été mouvementées. Michel Barnier, qui rêvait de ingérer la grand de la Commission occidentale en 2019, réalisait entré qu’Emmanuel Macron ne l’avait pas persistant, subséquent Le Monde. Avec sa rattachement à Matignon, il semble que les tensions se soient apaisées.

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