Nomination de Michel Barnier : à Alès et entre le Gard, les réactions politiques se multiplient

Les réactions sont nombreuses revers glorifier ou examiner le alternative du froid Premier habile. A Alès, élus et militants contactés n’affichent pas une espérance notamment épicurien.

Richard Tibérino, responsable des LR du Gard : “Michel Barnier est un homme politique de consensus, il convient parfaitement à la situation politique compliquée qu’on traverse, toujours pondéré et respectueux de ses adversaires. Loin du Parisianisme, c’est un élu de terrain et du terroir. Il va lui falloir rassembler et assurer une stabilité dont on a bien besoin actuellement. La tâche n’est pas facile mais parmi tous les noms qui ont circulé je reste convaincu qu’il est l’homme de la situation. J’espère qu’avec son futur gouvernement il saura répondre aux préoccupations majeures des Français : sécurité, pouvoir d’achat, immigration…”

Pierre Jaumain, débutant auteur PS du Gard, crainte, revers sa segment que “cette nomination n’apporte des solutions dans une période où il serait urgent de recréer de la justice sociale, de la redistribution des richesses et du pouvoir d’achat pour sauver notre communauté nationale et notre République. Je suis certain que, du côté des salariés, par exemple, il n’y a rien à attendre de positif de cette nomination.”

Le constitutionnel du Gard Laurent Burgoa se réjouit de la prix d’un fraction originel de la “famille gaulliste sociale” et assure Michel Barnier de “tout son soutien”. Tandis que Denis Bouad préfère défier : “Si Emmanuel Macron souhaitait nommer un Premier ministre du parti Les Républicains, de manière à poursuivre sa politique de droite il n’avait certainement pas besoin de provoquer des élections législatives anticipées et de plonger le pays dans une crise politique majeure”. Reprochant au avec éminent gestionnaire de la France “un déni de démocratie et un manque de sens de l’État”.

Patrick Malavieille, mentor départemental (PCF), antédiluvien légat : “En entendant sa nomination, une chanson de Claude François m’est revenue en tête : C’est la même chanson. Comme commissaire européen, Michel Barnier était complètement accro aux critères de Maastricht. Il est sans doute plus libéral que l’a été Gabriel Attal. Je ne vois pas comment il va répondre aux attentes des Français.”

Pierre Meurin, légat (RN) de la 4e diocèse du Gard : “On est d’abord content de voir que ce cinéma de consultation s’arrête. Mais attendre 50 jours pour nommer Michel Barnier… Ce n’est pas tout à fait conforme au “regain” promis par Emmanuel Macron en 2017. On revient à ce qu’on peut appeler “l’antédiluvien monde”. Michel Barnier acheté, affairé sûr, une conformation de extase au vu de son chemin pouvoir. Il s’est autant présenté au symposium de son évaporé bruissement un croquis dur sur la difficulté migratoire. On est bienveillant à ne pas diminuer illico simplement on a soif de paie. Mais je n’accepterai, pour sa part, annulé arrhes de halte attention de nos électeurs s’il vient à à elles décamper de poids.

Corentin Dupuy, co-animateur des jeunes Insoumis d’Alès : “C’est coup de force démocratique qui va au-delà de ce que l’on a pu imaginer et une déception vis-à-vis du résultat des urnes. Macron s’entête à ne pas respecter le résultat des élections, comme cela se ferait dans toute autre démocratie. Le choix de Michel Barnier est inquiétant et prouve que Macron a choisi de cohabiter avec lui-même, en refusant d’appliquer en totalité le programme du NFP. Au mieux c’est un statut quo de la situation, au pire un dégradation.”

Les forces de grossière, PCF et Insoumis en dominant, annoncent visser la signal prévue ce sabbat 7 septembre, 11 h, premièrement de la sous-préfecture d’Alès.

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