Battu sur le fil à Toulon sabbat final, le CO accueille ce sabbat quelquefois Perpignan (16h30). Un dispute qu’il devra vaincre de la ancienne à la dernière instruction.
La ancienne jour, la comédie est chue du bon côté. Mais pas la jour d’en conséquence. Voilà quoi on pourrait rapetisser de gauchi extrêmement limitative, contre ne pas preuve outrageusement, les paire rudimentaires sports du Castres Olympique cette moment.
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Mais s’il y a caractéristique un pixel évident dans ses paire premières sorties, ce sont ses fins de dispute parfaitement irrespirables où les Tarnais ont semblé de ce fait proches de la sans-faute que de la faillite. “Ça ne doit pas être évident à vivre pour nos proches et nos familles”, reconnaissait derrière une grêlé d’légèreté Adrien Séguret en conséquence le dispute devant au Racing (31-28), aussi qui le terminaison fut favorable derrière un tentative planté à la dernière instruction par la séide Christian Ambadiang. Mais sur le secteur de Toulon (28-30), les Olympiens ont réel le canevas antinomique en émoustillant à moins de paire minutes du dénouement de la section.
“On travaille à partir de scénarios”
“Un de nos axes de progression est d’être capable de contrôler davantage nos matchs”, post-scriptum le nouveau gérer des trois-quarts castrais, Xavier Sadourny. Car les Bleu et Blanc ne comptent pas prendre à eux moment à se commettre si désarroi à la fin de tout section. Alors ils ont courbé cette glorieuse influence du money-time dès cette semaine à l’chaleur.
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Mais quoi reprographier ces moments-là d’un dispute rien ce ambiance de duperie et de accablement ? “Il y a deux façons de les bosser, rétorque Xavier Sadourny. On travaille beaucoup à la vidéo, on fait beaucoup de retours là-dessus. Aux entraînements, on bosse à partir de scénarios. Par exemple : il reste dix minutes, on a un carton jaune, qu’est-ce qu’on fait ? Si on gagne de deux points ou qu’on perd de trois points, qu’est-ce qu’on fait ? Forcément, les lancements de jeu sont différents. On a commencé un peu cette semaine et au fur et à mesure ça va se construire.”
De supersonique à chassé
Les fins de dispute à suspense, les Castrais ne les découvrent pas cette période. Mais parmi un passé cadet, ils avaient de préférence service à se rattraper parmi la lieu du supersonique de préférence que du chassé. “Face au Racing, quand tu passes à 12 points d’avance, est-ce que dans un coin de ta tête tu ne te dis pas que c’est fait ? Parce que la saison dernière, on a tellement fait des matchs à l’opposé, où on a commencé par deux essais encaissés ou dix points à remonter, qu’on savait que dans 90 % des cas, quand on repassait devant en fin de match, c’était fait parce qu’on avait démoralisé l’équipe adverse”, se souvient Baptiste Delaporte.
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D’en conséquence le autre haie, le CO doit “se concentrer sur des trucs simples, qu’on a répétés, qu’on sait faire et où on est performant tout le temps. C’est la clé d’une fin de match réussie.” Il faudra la présager ce sabbat quelquefois devant à des Catalans qui avaient su l’emmener donc de à eux dernière habité à Pierre-Fabre (13-17) amnistie à un tentative immatriculé… en conséquence la sonnerie.
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