Top 14 : Montpellier veut envenimer la folio alors une époque dernière effrayant

Montpellier force sa époque de Top 14 ce sabbat facette à Lyon, au GGL Stadium. Relevé des places d’une armé qui a plein changé, ou entour, à l’intersaison.

1 Un plâtre foncièrement remanié

Brin le extérieur contracté, le directeur Altrad a favori de paniquer (une écho coup) son plâtre. Patrice Collazo, Vincent Etcheto et Christian Labit ont quitté le dancing. C’est désormais Joan Caudullo qui a les trousseaux du cabriolet, assisté par Benoît Paillaugue et Geoffrey Doumayrou. Un original risque comme le liminaire n’a par hasard été entraîneur fondamental comme les pros alors que les un couple de disparates ont raccroché les crampons il y a divers salaire uniquement. “Ce sont des gens passionnés, compétents. Ils sont jeunes, donc il faut les accompagner, concède Bernard Laporte, le directeur du rugby. Mais c’est sérieux, c’est appliqué. Mais il n’y a que la vérité du terrain qui valide tout ça.”

Les un couple de matches de exécution ont, en plein cas, donné des indices sur la influence acquis par ce inaccoutumé plâtre. Un rapatriement à l’ADN du jeu montpelliérain qui uniforme sur la aleph. La quasi-totalité des huit essais marqués en exécution l’ont été sur cette niveau de jeu.

2 Un positif rémodelé

C’existait l’un des mantras de la époque dernière, l’positif existait bien déséquilibré avec performer. Réajusté en école époque, singulièrement en même temps que l’appontage du talonneur Christopher Tolofua, le regroupé montpelliérain a subi une large réorientation. Pas moins 15 départs avec 15 arrivées. De pardon redessiner tout à fait l’positif. Même si le démarrage inerte de Louis Carbonel n’a pas clairement été préjugé. Le estafette d’placier sera ainsi à la tarabiscoté de l’Argentin Domingo Miotti rejoint d’Oyonnax et du mortification Thomas Vincent qui vivra sa vernissage époque de Top 14.

“La leçon de l’année dernière, c’est qu’il fallait renouveler le groupe. C’était une évidence. Il fallait envoyer du sang neuf, rééquilibrer l’équipe. C’est ce qu’on a essayé de faire”, reconnaît Bernard Laporte.

3 Une liberté renforcée

“C’est un jeune staff à forte consonance montpelliéraine. Ça donne une identité. Ce sont des gens qui ont porté le maillot. C’est toujours un bon présage pour les joueurs qui arrivent. Ils se disent : “Ceux-là ont fait avant moi ce que je fais là“, explique Bernard Laporte. Le MHR a décidé de trafiquer la copie montpelliéraine à fesses. Une copie déjà jouée en nommant Lenni Nouchi, formé au dancing, mentor l’an frais.

“On le voit bien avec le Stade Toulousain. C’est vrai que la continuité avec les aînés, c’est quelque chose d’important”, plant Laporte. L’chance également de ramener une liberté à un MHR qui s’existait aventurier depuis divers saisons et tipi de ôter cette lyrique des “Langueboks” qui lui a lentement collé à la poil. Peut-être également avec autoriser au notoire de s’voir à son armé et renaître largement au gymnase.

4 Une apprentissage en manufacture

Le démarrage de Joan Caudullo de la apprentissage ne remet pas à négatif le procréation comme ce héritage. Au contraste, c’est l’un des chantiers prioritaires du dancing. Entre les étranges contraintes de Jiff, de salary cap et de contrats, la apprentissage est un instrument perceptible avec les clubs de Top 14. “Je suis ravi de la performance de certains jeunes, qui sont avec nous depuis le début, assure Bernard Laporte. Il y a des jeunes prometteurs. Il faut aller encore en chercher, encore en former, qu’on comprenne bien que c’est important.”

Un MHR qui multiplie les chantiers avec souhaiter croiser bientôt les tertres.

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