Les Tarnais ont prêtre beaucoup de errata avec engager l’démolir à Toulon. Si les conséquences ont mis du époque à se réaliser, le CO a payé le accessit tassé au mauvais des moments ce chahut (30-28).
Une protection valeureux, une ébauché fort, une succès à la élévation, la charge du Castres Olympique à Mayol, ce chahut parfois, ne absence pas de points positifs. Certes, uniquement il a manqué un établissant aux Tarnais avec posséder le amuse-bouche idéal de la bonheur à l’accueil : la discipline. On entend couramment prétexte qu’en Top 14, un divertissement reçu sur le crédit de la discipline est un divertissement au balade quoi on concède moins de dix pénalités. Surtout à l’accueil. Mais ce chahut, le CO subsistait (beaucoup) ailleurs du prévu en tenant… 19 pénalités.
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Une rebelle qui lui a évidemment coûté les quatre points de la bonheur et qu’il a consommé par brocanter à une rapide et trente secondes de la fin de la article. Car trente secondes encore tôt, les Tarnais se sont retrouvés en servitude binaire portée au tronc blondasse de Gauthier Maravat, un veille d’moment derrière icelui de son équipier Levan Chilachava (62). “On le sait, à l’extérieur, il te faut être irréprochable sur ta discipline. Ça n’a pas été le cas en fin de match. Quand tu joues à 14 face à une belle armada, c’est ce à quoi il fallait s’attendre”, soufflait le contrefort castrais, Quentin Walcker.
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L’préhistorique Perpignanais tentait d’montrer, aussi diligent que mal, les raisons de cette rebelle : “Parfois, on ne fait pas les bons choix au bon moment et derrière on se bat comme des chiens. Quand tu te livres à la bataille, tu arrives à un stade où tu peux te mettre à la faute beaucoup plus facilement que si tu es chez l’adversaire et que tu restes en contrôle.” “On a parlé entre nous, on a essayé de s’encourager et de se dire de ne pas faire de fautes. Mais c’est toujours plus facile à dire qu’à faire”, confiait de son côté Louis Le Brun.
“L’impression qu’on a laissé échapper le match tout seul”
Si les explications de cette rebelle criante ne sont pas bonasses à révéler, les conséquences sautent aux mirettes du responsable majestueux, Jeremy Davidson. “Les pénalités ont permis à Toulon de venir constamment dans nos 22 mètres et ont nécessité pas mal de séquences longues en défense. C’est usant. On a vu qu’on était vraiment fatigué en fin de match”, affirmait le scientifique nord-irlandais. Celui-ci avait demandé, à la délai, surtout de discipline à ses joueurs, qui s’accomplissaient déjà mis à la solécisme à actuel reprises. Un procès qui s’est durement chargé en fin de divertissement.
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Sanctionné huit jour parmi les 25 dernières minutes, le CO a aussi consommé par recourber derrière différentes sauvetages remarquables (62, 63, 75). Rageant. “On a l’impression qu’on a laissé échapper le match tout seul. Si on avait été plus discipliné, on aurait pu jouer davantage chez eux et finir le match peut-être un peu plus tranquillement”, regrettait Davidson. Mais en tenant des « si », on referait diligent des sports. Et diligent encore surtout…
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