Mise latéralement alors du assemblage conclusion de la association Netflix “Sprint”, Marie-Josée Ta Lou-Smith, courageux olympique ivoirienne de 35 ans, n’a pas raffolé ce séparation de autocritique et souhaite entreprendre autoriser que l’aérobic, “ce n’est pas seulement ceux qui gagnent”.
Diffusée le 2 juillet nouveau, à nombreux semaines du attire des Jeux olympiques de Paris 2024, la association “Sprint”, produite par la terrasse nord-américaine Netflix, conseil une plongeon pour le amical des athlètes. Noah Lyles, Marcell Jacobs, Sha’Carri Richardson, Shericka Jackson… Beaucoup y sont représentés. Mais pas la sprinteuse ivoirienne Marie-Josée Ta Lou-Smith.
100 mètres moyennant les conduire complets.
SPRINT, la légende association formatrice circonstance sur les meilleurs coureurs du 100m, le 2 juillet. pic.twitter.com/ex2cn5dBCU
— Netflix France (@NetflixFR) June 30, 2024
“Je me sens méprisée parce que lorsque vous dites que vous allez faire une série sur les personnes les plus rapides du monde, vous devez montrer toutes les personnes, pas seulement celle qui gagnent. Parce que l’athlétisme, ce n’est pas seulement gagner, c’est aussi des personnes qui surmontent différentes situations, bonnes ou mauvaises” a confié l’courageux de 35 ans.
“Je détiens le record d’Afrique, je mérite le respect. En Afrique, des personnes me voient comme un modèle. Ce que je leur montre n’est pas toujours une médaille gagnée, parce que comme je leur dis, quand j’ai commencé l’athlétisme, je ne gagnais pas, les gens me battaient. C’est grâce à mon travail acharné, aux sacrifices que je fais, c’est ce qui m’a permis d’arriver là où je suis. Alors si vous voulez montrer uniquement ceux qui gagnent, alors quel est l’intérêt ?” a-t-elle aussi cordial.
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