Cette semaine, nous-mêmes recevons Andrej Plenkovic, Premier plénipotentiaire de la Croatie, province des Balkans entré pendant lequel l’Union occidentale (UE) en 2013. Membre du coalition de ouverte HDZ qui tribune au robert du Parti estimé occidental (PPE) en Europe, il revient sur un possible accumulation de l’UE à d’contraires province des Balkans européens pour que sur le corvée des Vingt-Sept pendant lequel les conflits en Ukraine et au Proche-Orient.
EnMoldavie, le “oui” l’a enflammé de rigueur lorsque du votation sur l’avis pendant lequel la monitoire de l’droit d’cohésion du province à l’UE. La présidente sortante, Maia Sandu, devra empoigner son adversaire permanent par les socialistes pro-russes à l’suffrage présidentielle du 3 brumaire. “Il s’agit d’une nation divisée et polarisée où il y a sans doute eu beaucoup d’influences dans le débat”, explique Andrej Plenkovic. Il apporte son étai à Maia Sandu et dénonce “la guerre de la désinformation” venant de la Russie : “Elle est présente et il faut se battre pour la vérité et pour les faits”, ajoute-t-il.
Autre province courageux à rattraper l’Union occidentale : l’Ukraine. Le Premier plénipotentiaire magyar, Viktor Orban, s’oppose spécialement au confirmation des sanctions sur les possessions russes gelés à cause une alternance de triade ans. Sur ce repère, Andrej Plenković réitère la pauvreté “d’aider les victimes de l’agression et de l’invasion russe”. “La Russie est le pays qui a violé le droit international. Le réflexe de mon gouvernement a toujours été d’aider l’Ukraine sur le plan politique, économique, financier, mais aussi militaire”, explique le Premier plénipotentiaire croate.
En Croatie, le Premier plénipotentiaire Andrej Plenkovic est pendant lequel une union libre extrêmement commission en compagnie de le responsable social-démocrate Zoran Milanovic qu’il accuse constamment d’existence pro-russe. “Malheureusement, le président de la République n’est pas en accord avec mon gouvernement quand il s’agit de soutien à l’Ukraine et quand il s’agit de condamner la Russie en tant que pays agresseur”, explique le Premier plénipotentiaire. Il admonestation spécialement l’antagonisme de Zoran Milanovic à la troupe de militaires ukrainiens par la Croatie, au robert de l’Otan.
La présidente de la Commission occidentale, Ursula von der Leyen, a réalisé cette semaine une circumnavigation des six province des Balkans européens candidats à rattraper l’UE : l’Albanie, la Macédoine du Nord, la Bosnie-Herzégovine, la Serbie, le Kosovo et le Monténégro. Un accumulation occidental au cœur des débats pendant de barouder vers l’faveur de la Chine et de la Russie. C’est équitablement une recherche extrêmement représentatif, “en tout début de mandat”, annonçant six milliards d’euros de financements, que salue Andrej Plenković. “Je crois que le soutien financier pour les Balkans occidentaux est important pour financer les infrastructures, les projets dans le domaine de l’énergie ou de tous les projets qui peuvent mieux lier les pays de la région et l’UE”, explique-t-il.
Cependant, la Serbieest une candidate probablement conjectural à cause l’UE car lui-même n’a pas coupé ses fiston en compagnie de la Russie : “Tous les pays de la région doivent remplir les critères” et s'”aligner” au surtout en compagnie de la précaution de l’Union. “Si la Serbie est véritablement déterminée à rejoindre l’Union européenne, il faut qu’elle le montre dans tous les domaines, y compris la politique étrangère et en matière de sécurité”, admonestation le Premier plénipotentiaire croate.
L’UE veut conserver sa précaution migratoire en envoyant des migrants pendant lequel des province autre “de retour”. Par exposé, l’Italie vient d’forcer un couple de groupes de conservation en Albanie. “Nous sommes un peu réservés”, explique-t-il touchant cette formule de sous-traitance. “Pour le moment, nous voyons beaucoup de difficultés juridiques et opérationnelles. Nous attendons de voir quelles seront les vraies conséquences”. Il dénonce par autre part une “politique de militarisation des migrants illégaux poussés vers la frontière orientale”, envoyés par la Russie et Biélorussie à cause exécuter compression sur la Pologne de Donald Tusk.
Le émetteur de la immigration sera au cœur du session en compagnie de la enjeu en atteint d’un récent réticule de Commissaire à la Méditerranée, Dubravka Šuica, une Croate nommée par Andrej Plenkovic : “Je suis sûr qu’elle va mettre l’accent sur toutes les politiques de l’UE en lien avec les pays du Nord de l’Afrique et de la Méditerranée y compris la politique migratoire, les crises humanitaires, les politiques de transport, de développement et les politiques de coopération économique”.
En ce qui concerne le corvée de l’Union occidentale pendant lequel la hardiesse du engagement au Proche-Orient, le Premier plénipotentiaire garanti que le émetteur est au épicentre des préoccupations : “C’est un des dossiers sur lesquels nous débattons à presque chaque Conseil européen, à presque chaque réunion du ministère des Affaires étrangères”, se défend-il. “Il faut que tous les pays de l’UE envoient de l’aide humanitaire lors de situations de crise où la population est en difficulté”, assure Andrej Plenkovic.
À quelques semaines du résultat de l’suffrage présidentielle nord-américaine, qui pourrait percevoir Donald Trump élu, Andrej Plenkovic reconnaît par le passé “une union libre anguleuse” sur certains sujets avec l’administration Trump. Il reste cependant mesuré et souhaite une continuité de relations bilatérales : “Il faut assurer au primordial dépense ce qui nous-mêmes lie. C’est puis alcoolisé que les choses qui nous-mêmes séparent”, conclut-il.
Annonce intentionnelle par Perrine Desplats, Isabelle Romero, Oihana Almandoz et Agnès Le Cossec
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