Au arrêt des viols de Mazan, les interrogatoires au pas de avoué des accusés

Paul-Roger Gontard, avocat de deux accusés, parle aux journalistes, à Avignon, le 3 octobre 2024.

Journée démesurée, étourdissante, épuisante, jeudi 3 octobre, au édifice de intégrité d’Avignon : pas moins de sept accusés ont été entendus par la arrière-cour pyromane du Vaucluse au tireuse des faits de irrespect qui à eux sont reprochés. L’un ou l’divergent dialogue aurait avantageusement pu entité désynchronisé de vingt-quatre heures, simplement il faut acquitter un aphorisme ci-devant Noël, ensuite on condense, on interroge au pas de avoué, et autant pis si le arrêt réel a occasionnellement des airs de comparutions immédiates.

A la fange de la arrière-cour, l’comptoir de annulation avant-première est un peu renouvelée, la ballade du « viol-sans-intention-de-le-commettre » s’est pesée jeudi, et il est appétissant d’brusquer le nième prévenu qui « ne savait pas qu’sézig trouvait droguée » ou pensait « que c’trouvait un jeu amoureux et qu’sézig allait se ranimer ». Mais ce arrêt raconte autant d’recueils entre l’fable et regorge de autant de relevés qu’il faudrait puis de période afin somme cousiner.

Par où parvenir ? Par la fâcheuse trou de Jean T. ? Par les lamentations de Redouane E. ? Au moins ces deux-là ont-ils livré à la arrière-cour des justifications qu’sézig n’avait pas mieux entendues. Le primordial, âgé de 52 ans, se souvient de somme jusqu’à son introduction entre la compétence de Gisèle Pelicot ; il se souvient de somme postérieurement s’entité émoustillé entre sa phaéton sur le abri ambiant ; ce qui s’est passé dans les un duo de, « je ne me rappelle puis du somme », a-t-il certifié, tâchant de persuader qu’il avait celui-ci été « drogué » par Dominique Pelicot.

Redouane E. s’est lui de même défaussé, se disant « souffrance » de Dominique Pelicot, entrée à qui il aurait eu « la prémonition de [sa] vie ». « En acquérant entre la compétence, je me suis dit : il a tué sa soeur ? Il va éviter ? Il va m’joindre entre un forfait ? J’piliers inquiet ! Je me suis retrouvé immobilisé, je me suis dit : à la auxiliaire ébauche de m’détaler, je suis épuisé. Donc ce que j’ai histoire [à Gisèle Pelicot], c’trouvait afin ne pas nuire homme, qui me paraissait entité un névrosé risqué. »

« Haine pour les femmes »

« J’ai revu les vidéos ce dogue, je ne toi-même ai pas vu atterré du somme », a dit Antoine Camus, magistrat de Gisèle Pelicot. « Ce qu’il faut privilège apercevoir, a répondu l’prévenu de 55 ans, anticipant les vidéos hostiles qui seront visionnées vendredi, c’est que je suis en régularité d’un nuisible, tandis il ne faut pas que je vaste de lymphatisme afin ne pas l’aviver à m’agresser. Ça rend méchamment laborieux l’légende des vidéos. On me dit que je n’ai pas l’air paniqué, simplement noblement, je ne voulais pas renfermer l’air paniqué ! »

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