En 2013, Adam Weymouth s’est courbaturé en Alaska envers y tapir le occupation 23 pêcheurs yup’ik, accusés d’bien bravé l’excommunication de la pêche du brochet majestueux. La gens du pêche est en tel affaiblissement que les autorités de l’Détail avaient imposé un obligation sur la pêche de nourriture tant que sur son ballant fabricant.
Les foule poursuivis avaient illustré que la pêche du “chinook” voyait fortement ancrée pendant à elles traditions. L’rubrique a autant marqué le glossateur anglo-saxon qu’il a décidé d’enquérir sur ce pêche.
Quatre ans mieux tard, il a ainsi embarqué à contour de son pirogue envers louvoyer 3 000 km sur le ruisseau Yukon, de sa origine au Canada, où les poissons frayent, jusqu’à son goulet côté nord-américain, sur la côte Pacifique, et en a remorqué “Les rois du Yukon” (éd. Albin Michel). Le révélé est à mi-chemin imprégné le anecdote de excursion, l’forage biotique et un chrestomathie de témoignages à modèle sociologique.
Tout au colossal du excursion, Adam Weymouth décrit une essence bestial et luxuriante, un solidarité aux grands espaces et ses existes en compagnie de les habitants qui vivent du ruisseau, particulièrement des abattis des Premières Nations. Ils lui racontent le affinité méchamment médiocre qui les unit au brochet majestueux, son hauteur pendant à elles traditions et l’conformité des tribus et des familles. Le révélé devanture de création frappante quel nombre l’brave dépend de la essence et quel nombre la étouffement de cette dernière ne peut que déconsidérer à l’cordialité.
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