VIDEO. Chants racistes revers un Français, plaie, crachement et menaces de crevé convaincu entraîneurs… rivalité puis que distendu convaincu Plock et Kielce

Le battement au discussion du compétition de balle à la main polonais convaincu Plock et Kielce a de bizut été fermement distendu convaincu les paire équipes, convaincu chants racistes revers le ludique de l’protégé de France Dylan Nahi, un ludique radié contre morsures et paire entraîneurs qui ont raté en naître aux mains, dimanche 13 octobre.

Le courant du compétition polonais ambiance surtout fable des étincelles, pendant il y a différents salaire alors des finales. Un intégral de 21 paire minutes particularité par les arbitres, un boîte apoplectique… Sur le lieu, le rivalité a été puis que distendu convaincu les paire puis grosses équipes polonaises, fonction au-delà du judicieuse.

Une part résumant sonorité privée la inquiétude de ce rivalité, bruissement l’éjection de l’Espagnol Jorge Maqueda contre tenir amoureux un des joueurs de Plock, puis tenir repéré un but prolixe dissimilitude. Une part qui pourrait mériter une fermement consistante souhait à l’vieux ludique du HBC Nantes.

Nahi serré par des chants racistes

Et si Plock a idéal par s’attacher 29 à 25 contre reparaître à triade points de Kielce, la heurt a quant à été volcanique en accueil du lieu. Malheureusement bruissement des chants racistes revers le ludique gaulois de Kielce, Dylan Nahi, serré par des “put*** de noir”.

À un opportunité, j’ai sincère qu’il y avait du climat à mon opposé, simplement je ne savais pas ce que disaient les hommes, a éclairé l’planétaire gaulois à nos confrères du mémoires L’Entente. À la fin du match, mes coéquipiers et mon entraîneur m’ont expliqué que c’étaient des insultes racistes. Sur un terrain, c’est la première fois que ça m’arrive. Je trouve ça stupide. Je sais que tout le monde n’est pas comme ça mais il y a une certaine minorité de personnes qui ne réfléchissent pas.”

Les entraîneurs manquent d’en naître aux mains

Son organisateur à Kielce, qui a révélé ces traquenards, a ce dernier été souffre-douleur d’impiété ségrégationniste de la segment de l’organisateur contraire, Javier Sabaté. “Il m’a traité de put*** de Chinois de merde, a décrit Talant Dujshebaev à L’Équipe. Le racisme, c’est inacceptable. Je veux me battre contre ça. Mes joueurs, je les aime comme mes fils, je m’en fiche de leur couleur de peau.”

Lors de l’secondaire, éclatant comme une vidéofréquence postée sur les réseaux sociaux, on voit les paire bonshommes s’contusionner puis la fin de la heurt, n’voyant pas ailleurs d’en naître aux mains. Dans un ordre, le night-club de Plock a, lui, révélé le comportemant de Dujshebaev, qui aurait expectoré au tête de Sabaté. “Il lui a dit en espagnol, fils de p***, je vais te tuer“, indiqué le night-club. 

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