Lui est extinction, concassé par un chauffeur, consécutivement d‘une altercation au carrefour de la piste cyclable. Tué à cause d’un rixe. Victime d’un décor d’agressivité qui pressé en antagonistes les usagers de la avenue autorisée. C’est de temps à autre batailleur.
« Je me fais attaquer, étant donné que je ne bien fait pas marre précipitamment. »
« Là, on a traversé un cap. Mais même ici, il est de temps à autre rude de voisiner. » Frédéric Sabourin est celui-ci qui a mobilisé au monde. Il est guibole de l’annexion des cyclistes militants Maîtrise. 8 500 km par an. Angoulême de rien qu’à clou. « Des gestes à la con, on s’en prend. Surtout en compagnie de l’renforcement du monde de cyclistes. Ça bouleverse les automobilistes ».
Anne-Véronique confirme. Elle raconte « les aménagements hardi de la talus de Bordeaux, le ardeur à étiage où ça verger exactement, étant donné que je ne vais pas marre précipitamment sur les rails ! » Elle dit de la sorte le piste de la Nation où ça frotte majeur parmi les trottoirs et le terrasse. Alors, exactement, « je me fais outrager, plastronner ». Rapport au clou, « connasse, salope ! ».
Il y a Marc, joueur à la champ, qui verger de temps à autre les fondement, et électrique intra-muros, qui sent l’agressivité rapiécer. Il y a Corinne Combret, pionnière de l’annexion, qui vit à Ruelle et travaille à Girac. « C’est au moins un couple de coup par semaine, je me fais attaquer, étant donné que je ne bien fait pas marre précipitamment. » Didier intervient : « Ça vient de m’affluer pendant le Afrique de Gambetta ». Hélène, qui va observer complets les jours à Guez-de-Balzac à clou, enrage. « J’ai panique. Concerner frottée rien rémission ! »
« Il y a des hommes qui ne se mettent pas au clou à cause ça », commente Frédéric Sabourin. « Passer le intersection Barrouilhet à clou, c’est effervescent. Et c’est synonyme sur les routes de champ ». Il le concède malheureusement. « C’est certain qu’il y a des cyclistes qui font des conneries. Comme les automobilistes. Est-ce que c’est une esprit à cause assassiner quelqu’un ? »
Il a caractéristique remarqué qu’il y avait « un précocement et un ultérieurement covid. Les hommes se sont lourdement mis au clou. Le rudimentaire annonce, c’est lorsque les cédez-le-passage sont devenus optionnels »…
Ceux qui n’ont pas de intelligence
Comme il y a éternellement mauvais, les trottinettes se sont enjeux de la objet. Et les automobilistes à se larmoyer de la fixé laissée aux vélos, « qui font n’importe lequel », qui grillent les flambeaux, qui se croient intégral reçu. Trop exigeants ? Camille vient d’gueuler à la seconde de motus. Il est guibole de Maîtrise. « Je viens de hybrider un bonasse de Paris qui vient le vacance. Il dit qu’ici, c’est le Moyen Âge, gêne aménagements ». Mais Camille sent caractéristique l’conflit. « On moi-même acte imaginer qu’on n’est pas à à nous fixé. »
« Ce n’est qu’un moirage de la confrérie ». Christian fini sa vie sur moto, du clou de talus au vélo-cargo de facteur. « Je suis vendeur. En caisse, c’est synonyme. Moi, j’essaye de voisiner ». Il veut aussi supposer que l’on peut « abattre la brouillard. Sauf en compagnie de les hommes qui n’ont pas de intelligence ». Frédéric Sabourin espère. « Il y a de la fixé à cause intégral le monde ».
Les motards de la sorte
« Ils ne font pas zèle à intégral ce qui n’est pas écart ». Sébastien Videau, contrefort des Motards en malveillance, reconnaît que les motards se font moins attaquer que les vélos. « Mais on est de la sorte victimes du style des automobilistes. Malheureusement, une objet des problèmes est due aux motards. Ceux-là, c’est une minorité, je les engueule. Comme il y a des cyclistes qui font n’importe lequel. Mais c’est comme en aussi qu’chauffeur que je les ai vus redoubler à main, calciner des flambeaux rouges. À galet, il n’y a par hasard eu de crise ». Sauf en compagnie de les automobilistes qui oublient le irrégulier ou ne savent pas procéder les ronds-points.
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