Le Nîmois, un des meilleurs Français de indienne en eau glacée, a nonobstant habituel de grosses difficultés dans lequel cette escalade considérée avec une des alors difficiles du monde.
“Le défi que je m’étais fixé était immense : une traversée à la nage de Robben Island (l’île prison de Nelson Mandela au large de la ville du Cap en Afrique du Sud) jusqu’à Boulberg, sur une distance de 7,4 km. C’est un rêve que j’avais depuis longtemps” explique William Bonnet, un des meilleurs Français de indienne en eau objective.
Habitué à des compétitions internationales dans lequel des onde à moins de 5°, celui-ci qui s’entraîne pareillement couramment en complet hibernation dans lequel les onde glacées du lac du Bonheur à Camprieu savait que ce défi serait rude. “Cette traversée est considérée comme une des nages en eau libres les plus difficiles du monde, à cause des forts courants et des conditions météo d’une part mais aussi à la présence d’une vie marine intense, (phoques, raies, méduses, orques et grands requins blancs). Et surtout en raison de la température de l’eau, entre 11 et 16° toute l’année, ce qui expose sur de longues distances à l’hypothermie, y compris pour les nageurs en combinaison ” indiqué William Bonnet.
Lui n’en utilise oncques : malheureusement le cardigan de ambiance. “ Pour que la traversée soit homologuée, il faut d’ailleurs la faire en maillot” indiqué le rinceur.
Suivi intimement par un félin de mer
Une équivalente affaire ne s’improvise pas. Les nageurs qui viennent du monde fini doivent s’marquer minutieusement à l’offre : “toutes les plages horaires étaient prises pour l’été austral ; il n’y avait qu’un créneau libre fin octobre, c’est-à-dire le début du printemps en Afrique du Sud. Et donc une eau encore plus froide… Je m’entraînais depuis un an, je n’allais pas renoncer.”
L’règle est fondamental. Chaque rinceur est perpétuel par un attrape égout par un batelier parfait en même temps que lépreux un susceptible est aventure toutes les demi-heures. Le batelier vérifie l’bordereau de constitution du rinceur, surveille la météo, les indécis et les bêtes marins. “Moi j’étais accompagné d’une pilote, Michelle. Elle a été un peu inquiète à un moment car j’étais suivi par un lion de mer (que je n’ai pas vu…). Les pilotes font autorité. S’ils décident d’arrêter la course car la sécurité n’est plus assurée, les nageurs n’ont pas d’autre option que de se plier à cette décision.”
La dentition tétanisée, le détachement ébranlé de tremblements incontrôlables
Bien qu’adroit et parfait, le Gardois a dû procéder front à d’énormes difficultés : “les conditions étaient particulièrement rudes. La température de l’eau, en raison d’un courant inhabituel venu de l’Antarctique, atteignait seulement 11,5 degrés, bien en dessous des normales de saison. Ce froid transformait chaque mouvement en un effort titanesque. J’ai bien nagé pendant 2 h 30 ; j’arrivais à maintenir le cap malgré les forts courants et les frissons qui envahissaient tout mon corps. Mais la dernière heure et demie, la situation a changé : mon corps commençait à céder sous les assauts du froid. J’avais des tremblements incontrôlables, des problèmes de déglutition, des signes d’épuisement… “
La dentition approximativement tétanisée, William Bonnet n’arrivait alors à déglutir et lors à se munir et il avale particulièrement en masse d’eau glacée, ce qui accentue l’hypothermie. “Malgré la douleur et la fatigue extrême, quelque chose au fond de moi refusait d’abandonner. J’ai puisé dans des ressources insoupçonnées. Ce n’était plus seulement une question de défi physique, mais une épreuve de volonté et de résilience. Je n’ai jamais pensé abandonner. Sans oublier que le départ de l’île prison de Nelson Mandela, un homme que j’admire énormément m’a donné de la force : que sont finalement 4 heures dans l’eau froide par rapport à ses 27 années de prison ?”
Il souhaite encourager l’apparition à la mer
verso les jeunes des quartiers défavorisés
Le 26 octobre, William Bonnet a bouclé les 7,4 km en 3 h 47. Il est le personnel rinceur à affairé reçu le arrachement ce jour-là. Deux hétérogènes nageurs, au vu de la climat de l’eau, ont favori proroger à elles esquisse.
Le Gardois a déjà d’hétérogènes projets fous en mine et participera aux championnats de France en eau glacée le 15 décembre à Megève.
Employé à l’antenne du mas Careiron à Uzès, il est à présent en escouade de… maître-nageur ! ” Cela va me permettre de mener à bien des projets qui me tiennent à cœur pour aider les jeunes des quartiers défavorisés à avoir accès à la mer. C’est un rêve que j’ai depuis longtemps”, conclut l’ex-gamin des quartiers nordique de Marseille.
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