Budget de l’village : Un séance principalement impassible qu’à l’Assemblée Nationale

l’construisant
En ce époque, les questions budgétaires sont au cœur du séance ruse. Jeudi soirée, le négociation général de la CA-TLP a fixé ses orientations envers 2025, en compagnie de garanti des “coupes” annoncées par l’Balance.

D’familier, le séance d’orientations budgétaires de la CA-TLP est placé inférieurement le avertissement de la coordination et ne cataclysme pas véritablement de ordinaires. Parce que c’est cadré, défiant en canton d’ralliement et de engagement (cette dernière, qui vivait de 70 M€ en 2017, n’est principalement que de 33 M€ en 2024), “tout en préservant les capacités d’investissement”, a scandé Gérard Trémège, à la manœuvre vu que le espion attitré, Denis Fégné, a démissionné, envers renseignement de députation… À ce dessein, il a été remplacé à son fortification de vice-président par Philippe Soulé-Péré, élu iboscéen, et tellement qu’on y est, Julien Nigon, le coût échevin de Bours a pareillement été installé. Bref, un “DOB” chez la postérité ? Presque, étant donné que les menstruel ont un peu changé… “Le contexte national et international est bien plus incertain que d’habitude. Le projet de Loi de Finances 2025 prévoit une baisse de 5 milliards des contributions aux collectivités locales, en ce qui nous concerne, cela va représenter 2,2 millions d’euros de dotations en moins. Cela aura un impact important sur nos finances.”

Un impulsion manifeste

Donc, si le milieu est double, l’impulsion, lui, sera manifeste. Parce que les dépenses de action, certes maîtrisées, augmentent inéluctablement, particulièrement les devoirs de jaloux (338 agents à à présent). “Elles se monteront à 92 M€, soit une augmentation de moins de 2 %, mais en face, on ne sait pas vraiment quelles seront les recettes.” D’où une réserve exposée, qui n’obère cependant pas l’boycott. “Nous maintenons le cap, avec un montant global d’investissement de 31 M€, tous budgets confondus.” Parmi les principales actions, la médiathèque de l’Arsenal (4 M€), l’auditorium de Lourdes et l’codification du pic du Jer, la imposition au GPSO (la barrière TGV sud-ouest lesquels on ne profitera que peu…), les besognes sur les zones d’émoi et le Caminadour, et empressé sûr l’eau et l’nettoyage envers 4 M€. Et hein spéculer totalité ça ? L’autofinancement, d’proximité (4,3 M€) et un ralliement de 20 M€. Autres investissements, le arrivée du source de l’codification de la ZAC de l’Adour, et une imposition au esquisse de Rocade est de l’agglo, période par le Circonscription.

Prudence de dureté

Si Emmanuel Alonso (échevin d’Aureilhan, Groupe socialiste) a salué cette durabilité, Erick Barrouquère-Theil (Groupe communiste) a d’proximité fustigé “la coupe de 2,2 M€ annoncée par l’État, c’est comme si on nous accusait de dépenser trop. Ensuite, on annonce 31 M€ d’investissement, mais on sait que tout ne sera pas réalisé. C’est de l’affichage. Enfin, pourquoi des travaux importants à l’Usine des Sports et si peu, à peine 200 000 € pour le parc de l’Adour ?” Gérard Trémège s’en est bulletin : “Pour le Parc de l’Adour, c’est un début, les procédures sont longues, en 2026, ça va accélérer. Pour l’Usine des Sports, ce sont des travaux de chauffage, nécessaires pour maintenir la fréquentation en hiver. Quant à la réalisation, là aussi, les procédures sont longues, et certains investissements sont retardés. Mais un budget, c’est aussi et peut-être surtout afficher nos engagements, notre direction.” Mais plus réserve, en ces ancienneté incertains…

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