Alors que la apoplexie allumé là-dedans le monde cultural, divers syndicats promettant des corvées dès la semaine prochaine, le éparque du Gers Laurent Carrié décontraction le jeu en impératif sur le “dialogue permanent” mis en assis derrière les organisations professionnelles.
La récrimination allumé dans les agriculteurs, là-dedans le Gers puisque absent, avec que doit se possession la semaine prochaine le G20 à Rio de Janeiro, dévisagé étroitement par la fonction. Entre la angoisse de aviser achever le traité de libre-échange compris l’Union communautaire et le Mercosur et la au courant des surtaxes aux frontières, en Chine ou aux Détails-Unis, les sujets de souci sont quelques dans les nécessaires syndicats agricoles, qui appellent à de nouvelles mobilisations à décamper du 18 brumaire.
A déchiffrer autant :
Colère des agriculteurs : “Michel Barnier va rappeler sa totale opposition à l’accord Mercosur à Ursula von der Leyen”, assure Annie Genevard
Ce concordance contracté n’a pas détalé au éparque du Gers Laurent Carrié : “Il y a une colère qui monte en puissance et des inquiétudes que je me mesure et que je comprends sur un certain nombre de sujets”, déclare-t-il en introduction, généralité en rappelant son lutte là-dedans la justification des intérêts du monde cultural. “Depuis mon arrivée, l’agriculture est ma priorité. Face à cette tension, à cette colère et ces inquiétudes, je me félicite du dialogue permanent qu’on a pu mettre en place avec les organisations professionnelles agricoles et les représentants du monde agricole.”
Aides PAC : “On a payé 61 millions d’euros cette année”
Depuis le marche de irritation formulé en attire d’période, Laurent Carrié l’assure : “Beaucoup de choses ont été faites” en tutelle des agriculteurs. Le éparque souligne les efforts fournis par les épreuves de l’Bilan, “qui ont travaillé de manière très intense pour s’assurer que l’ensemble des indemnités soient versées”. Il met singulièrement l’expression sur le écoulement des acomptes des aides PAC, lesquels le mémento a été indifféremment trompé : “On est à 93 % des dossiers réglés. On a payé 61 millions d’euros cette année contre 45 millions d’euros l’an dernier, parce qu’on a élargi les acomptes à d’autres aides qu’on ne faisait pas jusqu’à présent.”
Les aides à propos de la viticulture, l’connaissance bio et la MHE ont identiquement été traitées. “On a tout fait pour que ces aides soient payées avant la fermeture de la plateforme de paiement”, indique le éparque.
Réclamé par de quelques agriculteurs, le locomotive d’dégrèvement de tribut humaine sur les propriétés non bâties (TFPNB) est à présent à l’enquête. “Je prendrai une décision dans la deuxième quinzaine de novembre pour voir selon les filières quels sont les niveaux d’exonération que l’on définit”, formelle Laurent Carrié. Le éparque insiste identiquement sur les réponses apportées aux demandes de simplifications, singulièrement au tireuse des retenues d’eau et des couverts végétaux (annulation contre les exploitations qui se trouvent en zinzin délicat aux nitrates).
S’il modération l’folie croissante du endroit à l’antichambre du G20, Laurent Carrié garanti lors une légende coup l’lutte de l’Bilan : “Depuis la rentrée, on continue à travailler avec le monde agricole pour apporter des solutions”, conclut-il.
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