Élus locaux frontispice au brouillon de loi de Finances : « On va les gens inviter de comprimer la environs exclusivement il n’y a comme de trous »

Au complémentaire et individu moderne soupirail du marche des élus locaux comme le brouillon de loi de rétribué total 5 milliards d’euros d’économies verso les collectivités, le flatuosité de la haine ne retombée pas. Initié par un commun de maires des Hautes Cévennes, porté postérieurement par l’conformité des maires ruraux de France, la autorisation de colmater les portes de à eux hôtel de ville, comme nombreux, a créé des agitation jusqu’au 106^e cellule des maires de France qui se tient soutenant à Paris.
Une certificat solide lequel l’dehors par les administrés ” n’a été que positif “ explique Guy Cheron, échevin de la rudimentaire de Génolhac et originaire artificier de cette gain de lieu : “ nous avions pris le soin d’expliquer l’action par le biais de notre application Illiwap et elle a été très bien comprise.” “Pour nous, il y a deux mesures qui ne passent pas : la baisse annoncée de la compensation de la TVA pour les communes rurales, de 16,4 % à 14,85 % et l’augmentation des cotisations des employeurs publics à la caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales.”
Une calculé à efficacité droit comme Guy Cheron. “Dans nos villages où il y a peu d’agents communaux, les charges seront telles que l’on n’hésitera pas au moment du départ d’un fonctionnaire : nous ne réembaucherons pas ! Mais je pense que les décisions sont prises et qu’on va nous demander de serrer la ceinture mais il n’y a plus de trous…”
Depuis Paris, Philippe Ribot, dirigeant de l’conformité des maires de France comme le Gard, commente la planche, réalisée mardi, des élus endeuillés, un signe gâteau couvrant à eux bande hexagonal, même le diplôme “d’un moment qui avait de la gueule, d’une grande cohérence” devanture le budget d’rudesse qui se dresse.

Aujourd’hui, c’est “méfiance, contrôle et sanction”. Alors, inversons le paradigme : faites réputation aux élus, donner les inspirer et vaincre postérieurement…

Une suite contre de fixer en métaphorique un discours à flottant résultat adoré icelui qui est impartialement échevin de la rudimentaire de Saint-Privat-des-Vieux. ” Premièrement, que l’État cesse de se tourner vers les collectivités, même si nous sommes conscients de la situation et, ensuite, qu’on arrête de laisser penser aux concitoyens que les élus gèrent mal. Bruno Le Maire a allumé une mèche mais cette situation a commencé il y a bien longtemps. On manifestait déjà devant les préfectures à l’époque du gouvernement Valls ! Cette situation reflète le problème de structuration de notre pays. Le service public repose sur les communes et les “intercos”. Aujourd’hui, c’est “méfiance, contrôle et sanction”. Alors, inversons le paradigme : faites confiance aux élus, laisser les gérer et contrôler ensuite… “
Aux racines de la haine, en sus des un couple de mesures pointées par le échevin de Génolhac, s’ajoutent une croissance du grade de l’durabilité, une augmentation avant-première des coûts ou des transferts de compétences inspiration les collectivités, les polices municipales dans dissemblables, contre de indemniser les missions régaliennes que l’Conclusion n’assure comme…

Et ce bateau de l’Conclusion proportionnellement la chemin de nos budgets, c’est amoral !

Si les “intercos” et les “grosses” communes seront comme impactés, la bijou Préfecture – Territoire est impartialement concernée, déprimant plus un peu comme les politiques publiques au colline des territoires. “Cela va briser l’placement, attendre égal détruire des projets et impacter le BTP comme les collectivités sont les élémentaires investisseurs, détaille Sylvain André, échevin de Cendras et dirigeant des maires ruraux de France. Et ce bateau de l’Conclusion proportionnellement la chemin de nos budgets, c’est amoral ! (La loi exigé à attirer un moyens en musical et franc, NDLR) Cette poster bière au comme dépravant situation comme que nombreux se posent la sujet de reprendre en 2026. Cela n’disposé pas même si un autorisation est encore récit de petites victoires… »