Emmanuel Macron : les Européens ne doivent pas “déléguer pour l’éternité” à elles sûreté aux Américains

l’fondamental
Emmanuel Macron a commenté l’choix de Donald Trump aux Mémoires-Unis au espèce d’un cime communautaire à Budapest. Il a billard les Européens à conduire en intérêt à elles sûreté.

Emmanuel Macron a clair que les Européens ne devaient pas “déléguer pour l’éternité” à elles sûreté aux Américains et devaient alors libéralement “défendre” à eux “intérêts” front aux Mémoires-Unis et à la Chine.

“C’est un moment de l’Histoire, pour nous, Européens, qui est décisif. Au fond, la question qui nous est posée, voulons-nous lire l’Histoire écrite par d’autres, les guerres lancées par Vladimir Poutine, les élections américaines, les choix faits par les Chinois en termes technologiques ou commerciaux ? Ou est ce qu’on veut écrire l’Histoire ? Et moi, je pense qu’on a une force pour l’écrire”, a lancé le responsable gaulois à l’ajour du cime de la Communauté diplomatie communautaire, à Budapest (Hongrie), ce jeudi cerbère.

Très violent, Emmanuel Macron a évoqué actif satisfaction la insomnie le responsable élu des Mémoires-Unis, Donald Trump, “qu’on est quelques-uns autour de cette table avoir connu, il y a quatre ans de cela, dans ses précédentes fonctions”. “Il a été élu par le peuple américain et il va défendre l’intérêt des Américains et c’est légitime, et c’est une bonne chose. La question c’est est ce que nous, on est prêts à défendre l’intérêt des Européens ?”, a-t-il bosselé.

“Je pense que c’est notre priorité. On ne doit être ni dans un transatlantisme qui serait naïf, ni dans la remise en cause de nos alliances, ni non plus dans un nationalisme étriqué qui ne nous permettrait pas de relever ce défi face à la Chine et aux États-Unis d’Amérique.” “Pour moi, c’est simple, le monde est fait d’herbivores et de carnivores. Si on décide de rester des herbivores, les carnivores gagneront et nous serons un marché pour eux”, a aussi supplémentaire le responsable gaulois en longiligne cette mythe avec inciter les Européens à créature “au moins” des “omnivores”.

“Je ne veux pas être agressif, je veux juste qu’on sache se défendre sur chacun de ces sujets. Mais je n’ai pas envie de laisser l’Europe comme un formidable théâtre habité par des herbivores, que des carnivores, selon leur agenda, viendront dévorer”, a-t-il accepté.

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