Célia Aldon veut refaire les petit en même temps que les sociétés. Un dispute des partenaires, jeudi 21 brumaire au arène des Antonins, fera succursale de parapet de propulsion.
Depuis le 1er octobre, Nîmes Olympique a une événement partisan. Ce n’est pas un accrocheur déniché par le administrateur baraqué Sébastien Larcier. C’est une attachée commerciale usée en CDI par le responsable Rani Assaf. Célia Aldon, 39 ans, Nîmoise de racine, remplace Matthieu Follea, clique alentours d’différents projets pros.
Rani Assaf veut poursuivre le dancing partenaires
“Cela fait vingt ans que je suis dans le commercial, la communication, le relationnel ou l’événementiel. L’opportunité Nîmes Olympique s’est présentée quand je vendais mon commerce à Marguerittes (La parenthèse, “un emplacement de vie, un bouquet de fleurs”). On s’est rencontré avec Rani Assaf, ça a matché. Mon ordre de mission, c’est de relancer le club “partenaires”, faire revenir les entreprises et gérer les buvettes les soirs de match”, détaille la Gardoise.
Célia Aldon : “S’il voulait vendre ou laisser mourir le club, je ne pense pas qu’il m’aurait embauchée”
Au matière de son boss, miss explicite : “S’il voulait vendre ou laisser mourir le club, je ne pense pas qu’il m’aurait embauchée. Il m’a demandé de lui faire des propositions. Il a mis quelques bémols mais sinon, ça a été “oui, oui, oui””.
Sébastien Larcier et Adil Hermach coacheront les paire équipes de partenaires
Comme quant à le dispute des partenaires, jeudi 21 brumaire, en même temps que paire équipes qui s’affronteront sur la herbette des Antonins. L’une sera coachée par Sébastien Larcier, l’contradictoire par Adil Hermach, précocement une 3e arrêt dînatoire.
“Ils ont accepté de jouer le jeu, c’est super. Ce qui se passe sur un terrain, ça crée des liens. On va vivre quelque chose ensemble. Ça repart de là, on relance la machine”, communiqué Mme Aldon. Qui sait que “le challenge” qu’miss a cédé de épicer n’est pas gagné d’adulte, dans lequel un concordance de prévention en face du dancing et de son PDG.
“Nîmes adore son club”
“Je vais me prendre des grains, des échecs dans la gueule, mais si on écoute les gens, on ne fait rien. Tout le monde m’avait dit que mon commerce ne marcherait jamais : j’ai tenu huit ans. Je rentre dans une boîte privée dont tout le monde, le public, a l’impression de faire partie et donne son avis. L’atout, c’est que NO ne laisse pas indifférent. Nîmes adore son club. Il y a le potentiel, la passion. À moi de convaincre les entreprises, de renouer les liens, de fidéliser, de dynamiser. Je ne suis pas issue du milieu de foot, mais j’ai envie de m’inscrire dans le long terme et d’apporter un nouveau souffle.” Sien de hasarder. Et, même l’doté, de amadouer.
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