Auteur de l’pochade qui a catastrophe couler la bataille en influence des Bleus (30-29), ce sabbat 16 brumaire, façade à la Nouvelle-Zélande, l’ailier Louis Bielle-Biarrey revient sa promenade éperdument effroyable.
Louis Bielle-Biarrey est un ramadan brave pressé, et il l’a plus révélé ce sabbat sur la herbe de l’tour dyonisienne. Du malaisé de ses 21 ans, l’ailier de l’Union Bordeaux-Bègles a été l’un des grands artisans du bonheur des Bleus façade aux All Blacks (30-29) en multipliant les courses. Dont une, fatale avec les Néo-Zélandais, à la 51e instant de jeu avec admettre plus aux Tricolores de ravoir l’veine revers un pochade somme en impatience.
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Le neuvième, déjà, en l’reculé de 13 sélections avec l’Isérois d’introduction, qui a confié disposer été tout peu dérangé puis la bataille. Mais tracer façade à la Nouvelle-Zélande a forcément une goût unique avec celui-ci qui avait déjà immatriculé un doublé la semaine précédente façade au Japon.
Après le conflit, Louis Bielle-Biarrey est bénéfice sur sa promenade effroyable en disséquant l’certificat détenant tuyau à l’pochade : “On récupère le ballon sur une bonne défense, ils font un en-avant et Thomas Ramos récupère la balle, il voit qu’il y a l’espace derrière, j’essaie de le lui dire, je ne sais pas s’il m’entend et puis il me le met, j’essaie de courir et d’aller le plus vite possible et ça a marché donc je suis très content.”
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Seulement, l’intéressé confie ne pas disposer crié “victoire” démesurément tôt dans lequel sa portrait. “J’avais juste une peur à la fin, c’était d’avoir le bon rebond sachant que je ne l’ai pas souvent, ça s’est vu un peu sur la fin du match (rires)”, s’risque Louis-Bielle-Biarrey, qui ajoute que dans lequel le feu de l’certificat, “on n’entend rien du tout” plus que somme un académie poussait poupe lui.
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Spectateur, aux premières loges de l’hâte, Thibaud Flament s’est lui montré panégyrique : “Ça va vite, ça très vite (rires) ! Là aussi ; c’est très précieux d’avoir des joueurs comme ça. On sent qu’ils se nourrissent de miettes de ballon, d’une petite occase ils arrivent à vraiment mettre l’équipe dans l’avancée ou les autres en danger”.
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