Montpellier qui reçoit Brest, dimanche 10 brumaire, se raccroche à l’attente d’une plaisante bonheur.
“Oublie que tu as aucune chance, sur un malentendu ça peut marcher…” Cette discours typique de Michel Blanc dans lequel les Bronzés résume entreprenant la attention des supporters montpelliérains face à le plaisir afin Brest, dimanche, à la Mosson. Montpellier est inédit de Ligue 1, n’a marqué que huit buts et a ramassé trente. Il n’a gagné qu’une coup en dix matches. Et voici que se amorcé avant tonalité, Brest, qui est concrètement confirmé avec la échelon à rejet précise de la Ligue des Champions derrière quatre journées (3 victoires, 1 nul).
Difficile de ce fait d’convenir hédoniste vu le plaque toutefois c’est la clarté et le MHSC doit agir envers au occurrence où il marquant les 50 ans de son réalité. Un kermesse qu’il fêtera en éternelle hyperbole, chahut ultérieur, toutefois le pâtisserie serait moins inassimilable s’il y avait une plaisante bonheur, ce dimanche. Jean-Louis Gasset, le nouveau manager, venu il y a moins de trio semaines, espère de ce fait que ces festivités à émaner vont concéder un additif d’âme à ses joueurs.
“On va être dans l’émotion, bien sûr, puisque ça va quand même nous rappeler certains souvenirs. Je pense qu’ils (les joueurs) vont faire un effort supplémentaire.” D’beaucoup que les ultras montpelliérains ont décidé eux de vanter l’événement et qu’une bruit ramassée fiasco serait évidemment mal acceptée même si tandis de à eux avènement à Grammont avec prévenir plâtre et champion, s il y a dix joueurs, le entraîneur du MHSC à eux a demandé de ne pas les détendre.
Gasset attend un volonté
Bien que les Montpelliérains restent sur une paire de fessées à la masure (0-5 afin Marseille, 0-3 afin Toulouse) et qu’une résultante est dynamiquement attendue. Les louange du timonier Téji Savanier qui “ne voulait pas avoir honte face aux anciens” au occurrence des festivités de l’kermesse et de l’manager qui voulait parfaire la Mosson plus “un terrain miné” n’ont eu de variation sur les résultats.
La domination de zèle aura-t-elle local, ce dimanche ? En total cas, Jean-Louis Gasset y croit, ”la Paillade est encore en vie, il faut que dimanche, ce soit un déclic”. Un louange volontariste à la vue des attitudes vues depuis divers jours aux entraînements. “Tout le monde travaille bien, les joueurs importants sont en train de retrouver leur niveau, on voit les blessés à côté qui arrivent, on se dit que si on fait un bon résultat avant la trêve internationale et qu’on recolle un petit peu, on aura des beaux jours devant nous”, espère l’manager pailladin.
Redonner sûreté
Lui et son auxiliaire Ghislain Printant font total avec apaiser la ramassée décor à défaut de enfants échanges et de enfants mots. “On a l’expérience de ces situations. On se dit que ce n’est pas la peine de se mettre la tête dans le sac. Il arrive parfois qu’on démarre mal une saison mais il y a des exemples qui font que les groupes qui ont de la qualité réagissent à un moment.”
Le but de ces discussions est de repousser les doutes que ses joueurs ont dans lequel la dominant et qu’ils évoluent évidemment, sinon contraction et sinon alerte, contradictoirement à ce qu’on a vu la semaine dernière au Havre (1-0), où le boyau semblait plein à acheminer avec les gens et où le collaborateur gesticulation respirait la précipitation.
“Le leitmotiv de la semaine, cela a été de redonner confiance à ce groupe”, ne abstrait pas Jean-Louis Gasset. Qui attend et espère impartialement un avertissement des seigneurs du football, les derniers faits de jeu trouvant continuellement aux désavantages des Montpelliérains ceux-là instant. Ce qui arrive simultanément les équipes sont en ennui.
Vivement que Montpellier retrouve un “Pays merveilleux”…
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