Cette délibération a troussé de nombreuses questions et inquiétudes de la fragment de l’rivalité, alors du résolution communal qui s’est délié mercredi déclin.
L’armé municipale à la culminant de la village depuis fin avril a acté ce mercredi déclin en résolution communal la cassation de la fermage qui la liait à l’EPF (Édification connu paysan Occitanie) comme l’prise du situation destiné à la établissement d’un neuf externat. Une emplette qu’avait actée la précédente armé en décembre 2023, comme une segment de 31 140 m2, sise sentier de Chance, achetée en primitif recto par l’EPF qui accompagne les collectivités entre ce exemple de projets. Claire Lapeyronie, qui avait porté ce classeur en autant que juge de paix, sur les récifs de l’rivalité revers Christophe Antunes comme le gîte Pont d’extérieur, a suspect qu’sézig n’assisterait pas au assemblée et ne participerait pas au choix, “pour prévenir tout éventuel conflit d’intérêts, je suis présidente de l’EPF Occitanie depuis octobre 2021”. Elle a de ce fait quitté le résolution communal alors du assemblée, son colistier a délié culminant haute alors des questions-réponses compris l’rivalité et la nombre.
Une ténacité “irresponsable” comme l’simple juge de paix Claire Lapeyronie
Samedi extrême, Claire Lapeyronie et Christophe Antunes avaient alerté via un avis de tassé : “M. Segal s’assoit sur une décennie de travail consistant notamment aux études de faisabilité et à l’obtention du foncier. M. Segal ment aux Spiripontains : la mairie est déjà juridiquement propriétaire du terrain. Il veut maintenant ne plus rembourser l’EPF Occitanie qui avait avancé l’intégralité de l’argent par convention. La mairie s’expose donc à un contentieux avec l’EPF”, qualifiant cette ténacité “d’irresponsable”.
“On n’a pas à payer ce terrain seul”, dixit le juge de paix Valère Segal
Comme sézig l’avait gazette alors d’une jonction banale fin octobre, l’armé du neuf juge de paix Valère Segal considéré que l’prise du situation comme 3 144 906 € (*) aventuré de défoncer la congrégation entre un dette éperdument insolent. “On n’a pas à payer ce terrain seul, a martelé le maire. Le Département a la compétence des collèges, a répété Valère Segal.Dans le Gard, il y a un dogme : c’est aux mairies de fournir le terrain.Ce n’est pas le cas dans la majorité des départements.Un collège est fait pour un canton.On demande d’autres options ou solutions. Une réunion a eu lieu au Département.Elle a duré dix minutes.C’est comme ça que l’on a été reçu par Madame Perrigot [la présidente] et Monsieur Serre [vice-président et maire voisin de Pont-Saint-Esprit].” “Vous allez challenger le dogme, a ironisé Christophe Antunes. Pensez-vous y parvenir et dans quel délai ? Quelles sont les solutions, qu’envisagez-vous ?”
“L’arrêt est brutal” commente le RN
Pour les un couple de opposants RN de la justificatif Renouveau spiripontain (à eux quatre collègues ont quitté le gîte exclusivement siègent interminablement), Emmanuel Le Pargneux et Pierre Meurin, “l’arrêt de cette convention est brutal”. “On comprend les enjeux financiers, et la nécessité de finances saines, mais c’est un projet important pour l’avenir de la commune. Un chiffrage pour la rénovation du collège George-Ville a-t-il été réalisé ?”, a interrogé Emmanuel Le Pargneux, sinon Pierre Meurin a prononcé : “Il y a dans vos propos une forme de chantage à la mise sous tutelle de la ville. Pouvez-vous étayer sur ce risque ? En quoi ce projet impacte tant ? Écologiquement, je serais favorable à la rénovation du collège actuel.Que voulez-vous faire ?”
Trouver une issue revers les partenaires
Valère Segal trajet à une jonction de intégraux les acteurs concernés, il a déjà rencontré l’flic officiel et alerté le gouverneur. “On cherche des solutions et on se tourne vers les partenaires. Rénover l’existant ? Participation plus importante du Département ? de l’État ?”
Au-delà du coût du situation, le juge de paix javelot des craintes sur son site : “Il est enclavé, le long de la voie ferrée. Cela poserait d’énormes problèmes de circulation pour les cars scolaires. Pour adapter la voirie alentour, comptez 1,5 M€. La déconstruction de George-Ville coûterait environ 2 M€ (il y a de l’amiante). Et le parking de l’hôtel-dieu, la mairie s’est engagée à le construire pour une somme de 900 000 €, montant qui a doublé depuis. Avec le souci de la gendarmerie pour lequel l’État nous dit de réaliser des bassins de rétention pour 8 M€, oui, la commune pourrait passer le seuil d’endettement de 12 %.”
Sur le aventuré de affaire revers l’EPF, la nombre a empesé la incertain devanture de soumettre au choix cette délibération, qui a été adoptée revers les chant de la nombre, les six conseillers d’insupportable déclarée s’abstenant, et Christophe Antunes électeur moyennant.
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