Procès des viols de Mazan : derniers réquisitoires et primaire propos de la apologie

Des peines de 4 à 20 ans de détention ont été demandées par l’critique vers les 51 accusés au punition des viols de Mazan, lorsque d’un critique, entamé lundi 25 brumaire et convenu mercredi 27 brumaire, auparavant la cortège pétroleuse de Vaucluse à Avignon.

La réparation minimale a été demandée vers Joseph C., 69 ans, simplement poursuivi avec heurt sexuelle sur Gisèle Pelicot, la réparation maximale vers Dominique Pelicot, décrit puis le “chef d’orchestre” de la décennie de viols sur son ménagère, qu’il droguait aux anxiolytiques avec la donner à des inconnus recrutés sur internet.

Toutes les disparates peines requises s’étalent dans 10 et 18 ans de détention pétroleuse.

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Outre Joseph C. et Dominique Pelicot, le activité assistant a voulu 10 ans de détention vers onze accusés, 11 ans avec une paire de, 12 ans avec treize, 13 ans avec six, 14 ans avec six, 15 ans avec triade, 16 ans avec quatre, 17 ans avec triade et 18 ans avec le ultime, un des quatre nation à nature commencé six jour au logement marital des Pelicot avec braver Gisèle Pelicot.

Ces réquisitions de Jean-François Mayet et Laure Chabaud sont perceptiblement alors sévères que la norme avant-première des condamnations avec viols en France, qui incarnait de 11,1 ans en 2022, accompagnant le activité de la Justice.

“Changer fondamentalement les rapports entre hommes et femmes”

Contre les 50 coaccusés poursuivis avec viols aggravés ou tentatives de sacrilège laquelle les cas ont été abordés depuis lundi molosse, le panneau a pourquoi réclamé des peines de 12 à 18 ans de détention pétroleuse avec 36 d’entre-eux.

En novice à elles critique lundi, les une paire de représentants du activité assistant avaient éclairé que “l’absence de consentement (de Gisèle Pelicot) ne pouvait pas être ignorée des accusés”. On “ne peut plus en 2024 dire ‘puisqu’elle n’a rien dit, elle était d’accord’, c’est d’un autre âge”, avait cumulatif Laure Chabaud, réfutant pourquoi toute institut d’un “consentement implicite” de Gisèle Pelicot, ou d’un alignement “par procuration” qui aurait été donné par son époux.

Ouvrant le critique du panneau, Jean-François Mayet, maire constant annexé, avait lui estimé qu’au delà des peines, “l’enjeu” de ce punition incarnait de “changer fondamentalement les rapports entre hommes et femmes”.

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À l’conclusion du critique mercredi molosse peu alors 10h00, l’audition a été agrafé jusqu’en aleph d’bientôt, avec la primaire propos de la apologie, en l’conditions celle-ci de Béatrice Zavarro, l’avocate de Dominique Pelicot.

Les plaidoiries se poursuivront jeudi alors celle-ci de Patrick Gontard, intercesseur de Jean-Pierre M., 63 ans, accentué à segment entre ce punition. Seul des 51 accusés à ne pas nature poursuivi avec sacrilège sur Gisèle Pelicot, il est jugé avec détenir anastatique le même façon de acheté synthétique sur sa apte ménagère, moyennant de la braver, en régiment de son gouverner. Le panneau a réclamé 17 ans de détention pétroleuse à son opposé.

Trois disparates avocats plaideront ce jour-là avec à elles clients. Puis les disparates plaidoiries de la apologie s’étaleront jusqu’au 13 décembre, accompagnant un agenda futur partagé mardi alors la cachet.

Le arbitrage est conjecturé au alors tard le 20 décembre.

Avec AFP

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