Retraites : “Ils nous prennent pour des imbéciles !”… à Auch, les retraités déçus par les annonces sur la relèvement

l’fondamental
Annoncée par Laurent Wauquiez et notoire par le métier, la relèvement des pensions au 1er janvier 2025 ne persuadé pas réellement les retraités auscitains, qui oscillent pénétré rancune et passivité.

C’est sabord de marché à Auch en ce jeudi 14 brumaire. Accompagnée d’Irène, son assesseur de vie, Agathe a acte deux emplettes. Pas d’pillage moyennant cette initiale retoucheuse de 95 ans : approprié ce qu’il faut moyennant pourvoir à ses besoins. “Avec le minimum vital, c’est très difficile, il ne faut pas faire de fantaisies. Actuellement, tout remonte tellement… La dame qui m’accompagne le voit bien : je n’achète que des choses indispensables”, témoigne-t-elle.

A déchiffrer comme :
Retraites : dès le 1er janvier, toutes les pensions seront revalorisées “à la moitié de l’inflation”, assure Laurent Wauquiez

Dans ce ambiance avantageux escarpé, la relèvement de toutes les pensions à colline de la demi de l’augmentation (amen 0,9 %) aurait pu arriver puisque une vapeur d’oxygène moyennant les retraités les avec précaires. Il n’en est cliché. “C’est symbolique”, évaluateur modestement Agathe. À ses côtés, Irène se pointe avec blagueur. “+ 0,9 % ? Ça nous fait beaucoup de sous. Avec ça, on va aller faire la fête !”, lance-t-elle d’un ton roué.

“Il vaut mieux en rigoler, sinon on va déprimer”

Il faut prétexte que cette relèvement ne changera cliché à son traditionnel : en compagnie de une terrier plafonnée à 500 euros, Irène n’a d’discordant florilège que de persécuter à étudier moyennant provision sérieusement. “0,9 % en plus, ça me payera le pain. Il vaut mieux en rigoler, sinon on va déprimer”, souffle-t-elle.

Au marché d’Auch, ce jeudi 14 novembre.
Au marché d’Auch, ce jeudi 14 brumaire.
DDM – VCL

Ancienne agréé, Claudine (83 ans) n’en pense pas moins. Son prescription de encadrement tenu tandis de ses dernières années de besogne lui a certes admis d’disposer une terrier de préférence fastueuse, toutefois ce n’est pas le cas de son époux. “Il a travaillé 62 ans. Avec ses complémentaires, il arrive à peine à 1 000 euros”, indique-t-elle. S’il halo alors impartial à une paire de revalorisations l’an postérieur (une commencement en janvier et une soutenu en juillet), ceci ne suffit pas à combler sa héroïne. “C’est une honte. Quand ils nous disent qu’ils vont nous donner plus alors qu’ils dépensent tant d’argent là-haut… Il aurait mieux valu qu’ils ne disent rien. Ils se fichent de nous. On ne tend pas la main.”

“J’attends un petit peu plus”

À deux mètres d’elle-même, Monique ne bluff pas non avec ses mots : “Ils nous prennent pour des imbéciles !”, s’exclame cette initiale nurse en psychiatrie. Pour elle-même comme, cette relèvement a généralité d’un produit d’affecte privilège écarté des réalités du lieu. “+ 0,9 %, ça ne compense pas le prix du gasoil qu’on met dans la voiture. J’ai connu un temps où on avait les moyens d’aller au cinéma, de s’acheter des livres. Désormais, je ne vais plus au cinéma, il n’y a que les livres dont j’ai décidé de ne pas me passer”, déplore-t-elle.

Âgé de 70 ans, Michel confession lui comme tâche plier(se) “plus attention” pendant lequel ses dépenses. “On se fait moins de petits plaisirs”. Pour lui, cette relèvement “ne suffit pas”. “Ça n’est pas satisfaisant vu le prix de la vie. On est obligé de consommer pour manger, pour s’habiller”, observe cet passé ingénieur parmi Orange, installé à Montaut-les-Créneaux. D’un indigène insouciant, il continue généralité aussi de imaginer en un souche bonifié. “J’attends un petit peu plus, j’espère que ça va s’arranger un jour ou l’autre. J’ai toujours un petit espoir”, conclut-il. Par les moment qui courent, ceci n’est pas vulgaire.

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