Rodez. La Chambre régionale des bordereaux recadre La Cavalerie

Quand la démographie met le drugstore dans lequel les bordereaux… À La Cavalerie le doublement de la peuple, intervenue depuis 2016 et l’attache des légionnaires de la 13e DBLE a, par contrecoup, déséquilibré les ressources communales. C’est le prévision d’un juvénile ressemblance de la Chambre régionale des bordereaux. “La situation financière est fortement dégradée depuis 2021, au point que des dettes exigibles ne sont plus payées, conséquence d’un programme d’investissements très ambitieux et de prévisions de recettes trop optimistes” drille la Chambre. “Le redressement n’est pas attendu en 2024 et 2025 compte tenu des engagements financiers à honorer. La commune sera ainsi contrainte de maîtriser ses charges de fonctionnement et de limiter au strict nécessaire ses dépenses d’équipement.”

Des investissements votés façade 2020

“Nous n’avons rien découvert dans ce rapport.” Marie-Laure Guibert, primaire adjointe remplie des ressources, rappelle la “croissance démographique très importante avec le doublement de notre population entre 2015 et 2020 (La Cavalerie compte aujourd’hui 2500 habitants, Ndlr) face à laquelle la commune a investi. Il y a eu la création de plusieurs lotissements, d’une maison de santé, l’agrandissement de l’école primaire, l’aménagement des salles de la mairie et des remparts…”

Autant d’investissements votés donc du contagion procuration du juge François Rodriguez, réélu en 2020 (74,3 %) extérieur à un postulant, Loïc Massebiau, posé par le RN et Debout la France (29,6 %). “En 2021 nous nous avons fait face à la reprise de trois gros chantiers” insiste l’adjointe. La préfecture s’est pendant trouvée dans lequel des difficultés financières. “Le rapport de la Chambre est une feuille de route pour nous. Ils nous suivent.”

Une trésor locale levée

Niveau richesse, La Cavalerie peut numéroter, même le relève d’loin le ressemblance, sur des “produits de fiscalité propre en hausse. En 2022 une hausse des taux d’imposition (sur le bâti et non bâti) de 4 % a été votée. En 2023, en l’absence de nouvelle modification des taux locaux, l’augmentation constatée des impôts directs (+ 7,8 %) résulte essentiellement des valeurs locatives décidées au plan national à hauteur de + 7,1 %. Pour l’année 2024 aucune augmentation des taux n’a été envisagée, la pression fiscale étant déjà élevée.” La Chambre explication d’loin que “les taux votés par la collectivité en 2022 pour l’imposition du foncier bâti (40,28 %) et non bâti (93,48 %) sont supérieurs à la moyenne des communes appartenant à la même strate démographique qui est respectivement de 36,41 % et 49 %.”

Un dépense d’entreprise en harmonie

Le juge de La Cavalerie François Rodriguez rappelle, lui, des emprunts laquelle il a hérité. “Niveau investissement nous allons être très sages jusqu’à la fin du mandat en 2026.” Avec, revers le aisé des ressources communales, une convenu surnuméraire en batterie depuis la mi-septembre. “Les services de l’État, en particulière Madame la sous-préfète ont été très bienveillants” insiste contre Marie-Laure Guibert. “Nous avons déjà écrit à la Chambre pour expliquer notre plan d’action, en particulier la fin du contrat de vacataire, détaille François Rodriguez. Nous en referons un l’an prochain en étant clair sur le nouvel organigramme. Je pense en particulier aux services techniques où des agents ont eu des problèmes de santé.”

Au-delà, le juge de La Cavalerie, qui ne croit exceptionnellement la mutualisation des recette au degré de la confrérie de communes, voit contre le désengagement pécuniaire de l’Mémoire. “En 2026 je pense qu’ils auront beaucoup de mal à trouver des candidats pour y aller… il y a un problème de fond dans les communes.”

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