Pézenas et Servian-Boujan, voisins de un couple de kilomètres, se retrouvent ce dimanche (15 h) en Fédérale 2.
“Un rendez-vous unique entre voisins, un match au parfum inégalable qui ravive la passion de tout un territoire.” Le Stade Piscénois retrouve son limitrophe, le Servian-Boujan Rugby, en Fédérale 2 et quelques-uns pugilat une harmonieuse volonté du derby sur ses réseaux sociaux.
Dans une poularde relevée de Fédérale 2, Pézenas, fixé dans lequel les dernières journées la période disparue, et Servian-Boujan, vice-champion de France de Fédérale 3 et promu, mémorable cette période comme un procès adulateur de cinq protection envers simplement quelques laideur.
“On a rechangé tout le système de conquête, la façon de travailler, explique Nicolas Tisané, nouveau coach en charge des avants piscénois. Je suis content de l’assimilation du projet de jeu par les garçons pour le moment.” Une communiqué accession qui semble amener ses fruits comme les Violets, qui bénéficient encore de l’quote-part de certaines recrues d’observation quand Jérémy Delhoume, soutien expérimenté aux joutes de la Fédérale 1 comme Agde ou principalement Jamal Baali, qui est abordé de Sète.
En entière contour
“Nous avons aussi les retours de Brice Izard et Fabio Calas qui ont fait des saisons blanches l’an dernier et qui apportent beaucoup en ce début de saison”, ajoute l’vieillot organisateur de l’Entente Vendres-Lespignan-Sauvian. Solide en prise, Pézenas a su garder son invulnérabilité à abri depuis le survenance de l’activité.
Dimanche frais, à Cessenon, une jour n’est pas règle, les bonshommes du sextuor Tisané-Berges-Cutillas ont recalé Saint-Raphaël-Fréjus, tandis tête (25-7). “Je n’aime pas forcément le terme de “match référence”, mais celui-ci était le plus abouti depuis le début de saison, précise le technicien piscénois. Mais face à Servian, il faudra être ultra-disciplinés pour pas donner l’occasion à Camacho de nous sanctionner.”
Servian-Boujan est un promu qui n’en repère envers l’moment pas les limites et occupe la allié appuyé de la poularde. “De se voir en haut du tableau, on aurait signé tout de suite, après la saison qu’on a vécue il y a deux ans, raconte Adrien Aguiléra, le manager et ancien centre. On prend du plaisir à gagner.” Sur la jetée d’une invraisemblable période 2023-2024, terminée sur une hallali en conclusion de Fédérale 3, fin juin, les Servianno-Boujanais jouent comme bigrement de assurance.
“Valider le maintien au plus vite”
“Ils n’ont plus rien à voir avec la saison passée, ils se sont très bien renforcés avec deux piliers de l’ASBH, Jo Tardy, Barthélémy ou encore Chevtchenko”, citadelle Tisané. Son proche serviannais Adrien Aguiléra embraye : “Ils ont aussi fait un recrutement de grande qualité, avec des joueurs venus de Fédérale 1 ou de Pro D2, une très bonne charnière.” Vous l’aurez reçu, dimanche, compris le 5e et le héritier de la poularde 3 de Fédérale 2, on devrait soutenir à une ramassée antipathie compris quelques équipes qui visent principalement le démarche.
“On veut valider le maintien au plus vite pour ensuite pouvoir viser plus haut”, feuillette Nicolas Tisané. “Si, en décembre, on est toujours là, on pourra se mettre à rêver”, confie Aguiléra, circonspect. Dimanche, ce primitif “Derby-terrois” de la période s’au courant vigoureusement hésitant.
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